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Ailleurs nous rencontrons des amants qui «égrènent le rosaire d'or que l'amour mit pour l'homme au cou de la femme». Nous apprenons que les plaintes du cuivre «font courir un frisson qui tient l'âme debout», et «qu'en vain nous déplaçons l'amer levain du souci notre hôte». Et voici ce que dit aux femmes honnêtes Marie la révoltée: Paissez, brebis; le bouc expie!

Epopopopopopopopopopoï! Io, Io! Venez, venez, venez, venez, venez ici, ô mes compagnons ailés; vous qui paissez les sillons fertiles des laboureurs, tribus innombrables de mangeurs d'orge, famille des cueilleurs de graines, au vol rapide, au gosier mélodieux; vous qui, dans la plaine labourée, gazouillez, autour de la glèbe, cette chanson d'une voix légère: «Tio, tio, tio, tio, tio, tio, tio, tioet vous aussi qui dans les jardins, sous les feuillages du lierre, faites entendre vos accents; et vous qui, sur les montagnes, becquetez les olives sauvages et les arbouses, hâtez-vous de voler vers mes chansons. Trioto, trioto, totobrix! Et vous, vous encore qui, dans les vallons marécageux, dévorez les cousins

PREMIER GEOLIER. On ne vous volera pas maintenant, car vous avez sur vous des cadenas; ainsi, paissez, selon que vous trouverez ici pâture. SECOND GEOLIER. Oui, ou de l'appétit.

Ma faim, Anne, Anne, Fuis sur ton âne. Si j'ai du goût, ce n'est guères Que pour la terre et les pierres Dinn! dinn! dinn! dinn! Mangeons l'air, Le roc, les terres, le fer, Charbons. Mes faims, tournez. Paissez, faims, Le pré des sons! Attirez le gai venin Des liserons;