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Mis à jour: 3 juin 2025
Oui, bonshommes de Francfort et de Hambourg, vous êtes quelques-uns, vous avez continué les exploits des grands chemins, moins la bravoure de M. de Cartouche. Mais ceci ne vous empêche pas d'avoir chez nous pignon sur rue et de nous prendre nos femmes celles qui se vendent par le mariage ou
L'orchestre de Leipzig n'est pas plus nombreux que les orchestres de Francfort et de Stuttgard; mais comme la ville ne manque pas de ressources instrumentales, je voulus l'augmenter un peu, et le nombre des violons fut en conséquence porté
Les mauvais chemins et les eaux qui s'étoient accrues, nous obligèrent d'aller nuit et jour. Nous atteignîmes enfin le 30. de Janvier les portes de Francfort. Mr. de Berghover que nous avions fait avertir, vint au-devant de nous
Le général Bertrand a ordre d'occuper Hanau; concertez-vous avec lui, et, lorsqu'il se sera emparé des positions, continuez votre mouvement sur Francfort. «Le prince vice-connétable, major général, «P. S. Le général Bertrand pourra remplacer les troupes que vous avez au pont de bois: concertez-vous avec lui.» LE MAJOR G
Si l'influence linguistique de la France a diminué, surtout depuis trente ans, on n'y peut voir qu'une cause, et cette cause est toute politique. Les peuples ont besoin de savoir la langue du plus fort; dans cette force, la littérature est un appoint, elle n'est que cela. Le patronage littéraire de la France s'étend encore aujourd'hui sur la plus grande partie du monde civilisé; il est plus vaste qu'au dernier siècle; s'il est moins profond, c'est qu'il n'a plus pour appui la suprématie militaire. De tous les commerces allemands c'est celui de Leipzig qui a le plus gagné, peut-être, au traité de Francfort. Il n'a tenu qu'au génie littéraire allemand de profiter de la situation. C'est parce qu'il s'est obstiné
Vous riez, et tandis que tinte votre rire, Vos poèmes en pleurs invectivent le sort; Vous chantez, justement, de ne pas pouvoir dire Les sources et le but d'un multiple délire, Rossignol florentin, Grèbe des mers du Nord, Qui mélangez au thym du verger de Tityre Les gais myosotis des matins de Francfort.
Tout l'appartement et les divers meubles offraient aux yeux un tableau calculé pour faire une impression dont l'effet sur l'imagination était encore augmenté par l'air et, les manières de l'astrologue. Assis dans un grand fauteuil, il examinait avec curiosité un spécimen de l'art tout nouvellement inventé de l'imprimerie, qui sortait de la presse de Francfort.
Efforts des alliés pour séparer la France de l'empereur. Vérité des paroles de Sa Majesté prouvée par les événemens. Copies de la déclaration de Francfort circulant dans Paris. Pièce de comparaison avec le discours de l'empereur. La mauvaise foi des étrangers reconnue par M. de Bourrienne. Réflexion sur un passage de ses Mémoires. M. de Bourrienne en surveillance. M. le duc de Rovigo son défenseur. But des ennemis atteint en partie. M. le comte Regnault de Saint-Jean d'Angély au corps législatif. Commission du corps-législatif. Mot de l'empereur et les cinq avocats. Lettre de l'empereur au duc de Massa. Réunion de deux commissions chez le prince archi-chancelier. Conduite réservée du sénat. Visites fréquentes de M. le duc de Rovigo
»Or, estoit en ce temps la grande foire de Paris en France, insigne et plus ample que ne furent jamais les foires d'Aix-la-Chapelle et de Francfort, ni le Lendit, ni la belle foire de Beaucaire. Estoit ladite foire de Paris si copieuse et abondante en marchandises, ouvrages d'art et gentilles inventions, que un preu'd'homme nommé Cornely, qui avait j
Dans ces entrefaites le roi arriva proche de Francfort dans un village, où lui et toute sa suite passèrent la nuit dans des granges. Mon frère, le colonel Rocho et son valet de chambre en partagèrent une.
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