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Mis à jour: 25 juin 2025


Mais avant qu'ils se départissent , l'empereur leur fist une requeste et leur dit en telle manière: «Seigneurs tous qui cy estes assemblés, vous premièrement, sire pape de Romme, qui estes chief de toute crestienté, et trestous seigneurs prélas, arcevesques, évesques, abbés, je vous requiers que vous m'octroiez un don.» A ce respondit Turpin, l'arcevesque de Reims, pour tous: «Très-doulx empereur et sire, quanqu'il te plaira

Si croy-ie qu'en vostre age le temps et la peine pouroient enfin faire quelque chose de bon de vous, et qu'ainsi que d'vn champ fertile i'en retirerois quelque moisson vtile: mais ie m'aperçois bien que vostre terroir est sterile par vostre faute, Qu'en vain i'y seme, puis que vostre rude naturel ne s'est deffricher et changer . Voyez vous pas que l'extase vous tient, et qu'aussi muet qu'vn poisson, vous estes le symbole du silence?

Point ne vous fault faire le despiteux, Car, quant vous voy, je suis toujours doubteux De quelque mal, plus que de bien avoir; Je vous congnois sans plus rien en savoir, que soyez, vous estes rioteux. Tirez vous l

En effet vous estes sans pareil; Mais elle doit trembler d'une crainte eternelle Que vous ne la quitiez. Jamais, elle est trop belle. J'en voudrois donc avoir de plus rares faveurs Que des fueilles de choux, & de vilaines fleurs, Autrement. Voy ma soeur, que vous estes plaisante. Non, ne vous troublez pas, suffit, je m'en contente. Qu'elle vous donne un noeud.

Ma mère, vous estes du bon temps; vous avez accoustumé de ne manger du roty qu'une fois la sepmaine, encore n'est-ce qu'un aloyau; mais nous ne sommes pas accoustumez

Assez biens povez recevoir, S'en vous ne tient, sans y faillir, Vous estes pres d'y avenir, Faisant vers moy leal devoir. Se vous voulez, etc. Maudit soit mon cueur, se j'en mens, Quant

Amours, de vous me plains; Mais les griefz maulx le me font faire, Dont mon cueur et moy sommes plains, Car trop estes de dur afaire; S'un peu me fussiez debonnaire, Espoir, que j'ay du tout perdu, Si me seroit tantost rendu; Mais pas n'avez tel vostre vueil, Aincois, par vous m'est deffendu Plaisant desir et bel acueil.

Madame, Je croyrois que vous voudriez surprendre Cet esprit innocent qui vient de vous entendre, Si le Ciel en naissant ne vous avoit faict don Des plus aymables traits de mon Eurimedon: Mais puisque vous portez de si visibles marques De celuy que j'honnore au dessus des Monarques, Je recognois assez que vous estes sa soeur; Il a les mesmes yeux & la mesme douceur, Cette bouche, ce front, cette grave apparence, En fin le sexe seul en faict la difference.

Ah! Sire espargnez moy, Je suis vostre sujet, & vous estes mon Roy. Je ne souhaite pas les grandeurs d'un Empire, L'honneur de vous servir est le but j'aspire, Possedant ce bon-heur, je croi tout posseder, Et vous obeïssant, j'apprens

L'Anglois luy repartit: Monsieur je sçay fort bien en quel estat vous estes reduits, vos gens sont allez pour la pluspart dans les bois chercher des racines pour vivre. Nous avons pris Monsieur Boullé que nous gardons

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bornait

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