Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 16 juin 2025
On encense des idoles Avec les genoux pliés; Ceux dont on boit les paroles Demain seront oubliés. Ne va pas, toi qui m'écoutes En prenant des airs narquois, T'aventurer dans des joûtes Avec les grands d'autrefois! Tu te verrais, pauvre athlète, Aussi faible qu'un enfant Qui prendrait une arbalète Pour combattre un éléphant.
Par le sort de la naissance, L'un est roi, l'autre est berger; Le hasard fit leur distance; L'esprit seul peut tout changer, De vingt rois que l'on encense Le trépas brise l'autel; Et Voltaire est immortel.... bis. CH
J'ai pensé souvent aux saints de pierre qu'on encense depuis des siècles, au fond de leur niche, dit-il
Il pria même le général Koller de chanter, et comme celui-ci lui répondit, qu'il ne savait pas chanter, Buonaparte lui dit de siffler. C'est ainsi qu'il poursuivit sa route, caché dans un des coins de la calèche, faisant semblant de dormir, bercé par l'agréable musique du général et encensé par la fumée du cocher.
Et toi, saint évêque de Tours, lorsque Clovis, ce royal meurtrier, encensé par tes diacres, est sorti de ta basilique, enrichie des dons splendides de ce conquérant, de ta basilique où il venait de ceindre le diadème d'or et de revêtir la pourpre souveraine, cette pourpre, c'était le sang des derniers Gaulois valeureux! cette couronne, c'était l'or de la Gaule... et toi, grand saint évêque! toi et ton clergé vous chantiez: Hosanna! hosanna! devant ce pillard, ce massacreur de notre pauvre patrie conquise!...
Toutes les factions ont-elles été ensevelies sous ses ruines? L'égoïsme, l'ambition, l'ignorance, tous les préjugés et toutes les passions ennemies de l'égalité, ont elles disparu avec La Fayette? Non, son esprit vit encore au milieu de nous; il a laissé des héritiers de son ambition et de ses intrigues. Et quels succès ne peuvent-ils pas se promettre encore, avec un peuple aussi confiant, aussi léger que généreux, qui a longtemps encensé de si ridicules idoles? Que dis-je? Otez le mot de république, je ne vois rien de changé. Je vois partout les mêmes vices, les mêmes cabales, les mêmes moyens, et surtout la calomnie. Vous qui vous dis posez
Septembre 1841. Lion! j'étais pensif, ô bête prisonnière, Devant la majesté de ta grave crinière; Du plafond de ta cage elle faisait un dais. Nous songions tous les deux, et tu me regardais. Ton regard était beau, lion. Nous autres hommes, Le peu que nous faisons et le rien que nous sommes, Emplit notre pensée, et dans nos regards vains Brillent nos plans chétifs que nous croyons divins, Nos voeux, nos passions que notre orgueil encense, Et notre petitesse, ivre de sa puissance; Et, bouffis d'ignorance ou gonflés de venin, Notre prunelle éclate et dit: Je suis ce nain! Nous avons dans nos yeux notre moi misérable. Mais la bête qui vit sous le chêne et l'érable, Qui paît le thym, ou fuit dans les halliers profonds, Qui dans les champs, où nous, hommes, nous étouffons, Respire, solitaire, avec l'astre et la rose, L'être sauvage, obscur et tranquille qui cause Avec la roche énorme et les petites fleurs, Qui, parmi les vallons et les sources en pleurs, Plonge son mufle roux aux herbes non foulées, La brute qui rugit sous les nuits constellées, Qui rêve et dont les pas fauves et familiers De l'antre formidable ébranlent les piliers, Et qui se sent
Plus d'un grand mois après la noce, J'ai vu, certes j'en ai bien ri, J'ai vu ma nièce et son mari Tous deux dans le même carrosse! Vous n'avez pas vu le bon temps: Que je vous plains d'avoir vingt ans! Hélas! des plaisirs domestiques Ignorant la solidité, Petits esprits démocratiques, Vous radotez de liberté. Cette liberté qu'on encense N'est rien qu'un rêve dangereux.
La foule vous admire et l'azur vous éclaire; Vous êtes riche, grand, glorieux, populaire, Puissant, fier, encensé; Vos licteurs devant vous, graves, portent la hache; Et vous vous en irez sans que personne sache Où vous avez passé.
Je ne puis rien pour mon Dieu, sans cela: c'est la nouvelle nécessité. Tu peux offrir la sainteté de ton existence. Ça ne suffit point!... rugit-il en haussant les épaules, en dissimulant combien cette interruption lui semblait ridicule... La sainteté contente mon égoïsme qui veut devenir un élu, un bienheureux titré, honoré, encensé, bercé par les musiques des anges. Oui.
Mot du Jour
D'autres à la Recherche