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Mon cher enfant, Je suis arrivée très lasse et assez malade; je vais mieux. Maurice va bien. Tous mes amis, Gustave Papet, Alphonse Fleury, Charles Duvernet et Duteil sont venus, le lendemain, dîner avec mesdames Decerf et Jules Néraud .

J'avais connu le général Duvernet en 1807, au moment il venait d'être nommé colonel du 63e régiment de ligne, et plus intimement pendant la campagne de France. Je l'estimais pour sa bravoure bien connue, pour les qualités de son coeur mille fois éprouvées par ses amis; je me trouvai donc heureuse d'être appelée

Ma famille d'enfants et d'amis vous envoie ses voeux sincères. A M. CHARLES DUVERNET, A LA CH

Adieu donc; je vous embrasse. Venez le plus tôt que vous pourrez. Du nom d'un ami de Duvernet appelé Decaudin. Héroïnes de divers fragments littéraires inédits de George Sand. Orléans, samedi 3 juillet 1831.

J'ai l'honneur d'être votre servante. A MESSIEURS PLANET, FLEURY, DUVERNET, DUTEIL, A LA CH

Je ne dois pas entrer dans les détails politiques de la conspiration de Lyon, qui éclata au mois de juin 1816. Je me bornerai aux remarques que je pus faire, ainsi que Mme de La Valette que je voyais assidûment, sur l'intérêt général qu'inspirait aux gens les plus honnêtes une insurrection qu'on pourrait appeler celle de la pitié, mais d'une pitié électrique. Le mouvement de Lyon tenait uniquement aux sentimens d'intérêt qu'inspirait le jugement du général Duvernet. Mme de La Valette était courageuse, spirituelle et décidée. Elle prit son parti sur la résignation de son mari. Mais quand je tâchais de lui faire entendre qu'elle risquait son repos pour une impossibilité, elle me répondait: «Il n'est rien dont on ne vienne

J'ai reçu votre aimable lettre il y a quelque temps, et j'ai vu depuis M. Duvernet, qui m'a dit vous avoir trouvée bien portante, et avoir passé la journée avec vous et l'ami Pierret . Il m'a beaucoup parlé de vous. Vous savez que c'est une de vos conquêtes les plus dévouées. Il m'a dit que vous viendriez sans la crainte de nous voir partir au premier moment et d'avoir fait un voyage inutile. Ce serait une crainte bien mal fondée; car, outre que le plaisir d'être près de vous nous ôterait l'envie de courir, nous n'avons pas le moindre projet de voyage d'ici

Le général Marchand, le général Duvernet, le prince d'Essling, le duc d'Angoulême se portent sur ses derrières et lui fermeront la retraite. Le général Lecourbe vient manoeuvrer sur ses flancs. Le maréchal Oudinot arrive avec ses fidèles grenadiers royaux. Les Gardes Nationales de Marseille, et la population entière du midi, marchent de tous côtés

Bonsoir, mon cher enfant. Embrasse Eugénie pour moi, et viens me dire ta réponse avec le Gaulois s'il a le temps, ou sans lui. Ne m'oublie pas auprès de madame Duvernet. Nohant, 17 octobre 1843. Mon enfant, Sois donc tranquille, je n'irai pas en prison, je n'aurai pas de procès.

A Messieurs Fleury (dit le Germanique) et Duvernet (Charles), pour offense