Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !

Mis à jour: 25 mai 2025


M. Roux-Servine, l'auteur du Planet Saint-Eloy , nous offre, pour ses débuts dans le roman, une oeuvre charmante, originale, sympathique, pleine d'esprit et de talent, qui vaut d'être lue et mise en bibliothèque. M. Roux-Servine est certainement un homme du Midi et peut-être bien un félibre. Il est en tout cas un traditionniste de la meilleure qualité et qui, pour cette raison, n'aime point le cabotinage du traditionnisme. Et M. Roux-Servine en plus est un poète. Vous vous en apercevrez dès ses premières lignes,

Planet était naïf comme un enfant, avec un esprit pénétrant et une finesse déliée. Il était un type de stoïcisme envers lui-même, de tendre indulgence envers les autres. Les contrastes de cette âme exquise et simple, souffrante et enjouée, étonnaient et charmaient en même temps, Nulle intimité n'a été plus douce et plus sûre que la sienne.

Gabriel de Planet est mort le 30 décembre 1854, d'une phthisie pulmonaire,

Ces livres sont: Au Pays d'Oïl, par M. Jean Revel; le Vieux Gamin, par M. Gaston Roupnel et le Roman de la Forêt, de M. Jean Nesmy, auxquels il faut joindre le Planet Saint-Eloy, de M. Roux-Servine, qui nous dit la vie et la mort de la tradition provinciale sur la «placette» d'une petite ville de Provence.

gentilhomme, Planet avait conçu, dès sa première jeunesse, l'idée nette et le sentiment profond de l'équité fraternelle. Il n'a jamais varié un seul jour dans cette religion de son coeur et de son esprit; et pourtant, la rare tolérance de son jugement, la bienveillance de son caractère et le charme conciliant de son commerce l'ont rendu cher

Comme George Sand, ébranlée et lasse, s'éloignait avec Planet, Michel (de Bourges) s'aperçut qu'il plaidait tout seul, devant un auditoire imaginaire. Il courut, rejoignit les fugitifs, leur fit une scène violente, s'offrant

Demain, ça se trouve bien, il va déjeuner au Planet. Eh bien, tant mieux: tu te montreras avec ta mère et moi

Je suis contente que vous soyez contents, que Paris vous amuse, que la bonne Berthe y ouvre de grands yeux. Je pense vous y rejoindre le mois prochain. Rien de nouveau dans le pays, que vous ne sachiez: la mort de madame Vergne et la banqueroute de M. Chabenet. Planet, qui est venu dîner avec nous aujourd'hui, m'a dit que tu y étais pour quelques milliers de francs. C'est fort désagréable sans doute; mais ce l'est moins que si la chose fut arrivée il y a quelques mois. Je sais que ta mère se porte bien, Borie l'ayant vue, il y a deux jours. Quant

Planet est toujours un charmant jeune homme, bon comme un ange. Fleury a une fille charmante, une femme idem. Madame Charles est encore grosse. Le père Duvernet se meurt; j'en suis très peinée, c'est un vieux débris de notre ancien Nohant qui s'en va rejoindre notre père et notre grand'mère. En outre, c'est un brave homme qui manquera beaucoup au pays. Agasta va tout doucement. Félicie reste près d'elle. Madame * va rejoindre ses parents pour les aider

J'ai l'honneur d'être votre servante. A MESSIEURS PLANET, FLEURY, DUVERNET, DUTEIL, A LA CH

Mot du Jour

simoniaque

D'autres à la Recherche