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Mis à jour: 29 juin 2025


En même temps, les Annales des Voyages de Malte-Brun publient une Notice géographique et historique sur le Monténégro et un Tableau des Bouches de Cattaro . Cette publication populaire donne aussi, en 1809, une Description physique de la Croatie et de l'Esclavonie, et, en 1811, un Mémoire sur le Monténégro, par A. Dupré. Cette même année 1811 paraissent: la Croatie militaire, mémoire sur les régiments frontières, par le général Andréossy ; les Souvenirs d'un voyage en Dalmatie, par C. B., du département de Marengo [Dr Charles Botta], ouvrage l'on parle de la poésie populaire serbe (pp. 55-57). En 1812, le Voyage en Bosnie dans les années 1807-1808, par Amédée Chaumette-Desfossés, ancien chancelier du consulat général de Bosnie, ouvrage réédité en 1821, connu de Mérimée et utilisé dans la Guzla . L'année suivante, M. Depping fait un long Tableau de Raguse pour les Annales des Voyages (t. XXI), il parle de la littérature «illyrienne» d'après l'ouvrage italien de F.-M. Appendini . En 1814, on traduit de l'allemand une étude sur l'Illyrie et la Dalmatie, par le savant autrichien Balthasar Hacquet, et on l'augmente d'un Mémoire sur la Croatie militaire . Le Journal des Débats ouvre son feuilleton aux articles sur la poésie «illyrienne», par Charles Nodier. En 1815, Charles Pertusier, attaché

À sept heures et demie du matin, le nommé Chambon, commissionnaire de livres, a été amené par le sieur Henry, inspecteur de police. «À deux heures, le sieur Henry a amené le nommé Point Dupré et une charrette remplie d'imprimés et d'une imprimerie.

En femmes, c'étaient toutes les femmes, grandes dames ou filles d'Opéra, mesdames de Parabère, d'Averne, de Phalaris, de Sabran, la princesse de Léon, Emilie Dupré, madame de Gesvres, la Le Roy, madame de Flavacourt, les deux soeurs Souris; la liste n'en finit pas. Toutes les femmes peuvent prétendre

Est-ce donc que le Paradis Perdu n'était pas connu parmi nous, du moins en français? Soyons justes, et reconnaissons que cet ouvrage a été plus heureux en traducteurs que beaucoup de poèmes étrangers: le travail de Dupré de Saint-Maur, celui de Racine, celui de M. Mosneron sont dignes d'estime et de mémoire. Mais, malgré cela, qui est-ce qui lisait Milton? Bien peu de personnes sans doute. À différentes époques, après avoir un moment occupé la scène, il est rentré dans une ombre majestueuse, repliant, comme le magnifique oiseau que Buffon a célébré, «repliant ses trésors et les cachant

Bien avant cette époque, dit Weiss, beaucoup de réfugiés; ayant perdu tout espoir de retour dans leur patrie, avaient traduit leurs noms français en allemand. Lacroix était devenu Kreutz, Laforge Schmidt, Dupré Wiese, Sauvage Wied, etc.

Oui, dit négligemment l'enseigne, c'est la dernière production de Guillaume Coustou, qui est mort avant de l'avoir achevée; elle a été finie par son élève, un nommé Dupré, homme de mérite, qui meurt de faim, et qui est obligé de tailler le bois

«Cette lettre me communiqua son noble enthousiasme. Je ne craignais plus le danger des combats pour celui qui en parlait de cette manière, et je sentais que je ne pouvais vivre, moi, jeune fille de quinze ans, loin de ces terribles émotions. Je n'espérais pas que ma réponse parvînt exactement: j'étais sûre au moins de pouvoir la porter moi-même. Il venait beaucoup de monde chez madame Rivière (la fille de madame Dupré). On y lisait les journaux; je prenais des notions sur les lieux occupés par le corps de Duhesme. Pas de doute que je ne parvinsse, avec ces renseignemens, sur les traces de l'armée. La générosité de mes protecteurs successifs, de madame A * et de madame Dupré, m'avait laissé mon petit trésor, enrichi encore de leurs dons. Une femme intéressée, que dans les dispositions de mon cœur je ne jugeai que complaisante, se chargea de me procurer un passe-port sous le nom de madame Duhesme, rejoignant son mari

»Enfin le moment du malheur approchait. Dupré, mon valet-de-chambre, était âgé; il tomba malade, et bientôt ses jours furent comptés par les médecins. Je ne sais quelle fausse délicatesse saisit ce vieillard, qui était dévot; il prie la marquise de passer chez lui, et lui raconte que depuis environ quinze ans, il porte de temps en temps, de l'argent et des bijoux précieux

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