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Mis à jour: 10 juin 2025


Sous le prétexte de s'entendre avec moi pour la prise de possession des mines, le général Drouot vint me trouver dans la soirée, et, en présence de mon épouse, il me pressa vivement de ne pas quitter ma place: je lui donnai ma parole. Il n'y eut pas d'autre nomination ni d'autre engagement. Le général Drouot dit

C'était surtout un Corse, valet de chambre de l'Empereur, pour lequel l'Empereur semblait avoir une bienveillance particulière, qui répandit le bruit de ma destitution, en désignant un de ses compatriotes pour mon successeur, et je dus me plaindre de cette inconvenance, dont l'opinion s'emparait parce qu'elle sortait de l'intérieur du palais impérial. Ma plainte était d'autant plus opportune que l'opinion, dans son extrême bienveillance pour moi, blâmait l'Empereur. L'Empereur écouta ma plainte; il gronda son valet de chambre. Toutefois le valet de chambre n'avait pas inventé ce qu'il disait, il ne faisait que répéter. J'en fis faire l'observation au général Drouot. L'Empereur avait refusé d'accepter ma démission, j'étais toujours prêt

Elle se pencha de nouveau. Au milieu, sur la chaussée, les fiacres et les omnibus croisaient toujours leurs yeux de couleur, plus rares et plus rapides. Mais, sur les côtés, le long des trottoirs, de grands trous d'ombre s'étaient creusés, devant les boutiques fermées. Les cafés seuls flambaient encore, rayant l'asphalte de nappes lumineuses. De la rue Drouot

Voici maintenant le procès-verbal de la reconnaissance du pavillon elbois: «Cejourd'hui 4 mai 1814, S. M. l'empereur Napoléon ayant pris possession de l'île d'Elbe, le général Drouot, gouverneur de l'île au nom de l'Empereur, a fait arborer sur les forts le pavillon de l'île, fond blanc traversé diagonalement d'une bande rouge semée de trois abeilles d'or.

Le 30 octobre, vers minuit, M. Victor Hugo, rentrant chez lui, rencontra, rue Drouot, M. Gustave Chaudey, sortant de la mairie dont il était adjoint. Il était accompagné de M. Philibert Audebrand. M. Victor Hugo avait connu M. Gustave Chaudey

« Non, pas de personnages marquans dans ceux qui étaient restés après la débâcle du 19. J'ai remarqué Dejean, Ornano, Petit, le colonel Montesquiou, Bussy, M. de Turenne, chambellan, puis Drouot et Bertrand, qui sont partis avec l'Empereur. Mais

L'Empereur a connu plusieurs de mes pages. Le général Drouot les a presque toutes lues: il en a corrigé quelques-unes. Aux jours de sa toute-puissance, alors qu'il était le roi des rois, nul n'était assez haut placé pour pouvoir regarder l'empereur Napoléon en face; il échappait

Le général Drouot était porteur d'une lettre de l'empereur Napoléon pour le général Dalesme. Cette lettre était datée «de Fréjus, le 27 avril». Je la copie: «Monsieur le général Dalesme,

Les yeux du comte Bertrand étincelaient d'espérance et de joie; le Général Drouot était pensif et sérieux; Cambronne paraissait peu se soucier de l'avenir, et ne s'occuper que de bien faire son devoir. Les vieux grenadiers avaient repris leur air martial et menaçant.

Je le revoyais, en sa marche militaire, quand, après la lecture des journaux, dans ce vieux cabinet de lecture qui existe encore au passage de l'Opéra, il arpentait, des heures, le boulevard des Italiens, de la rue Drouot

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