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J'avais reçu trois lettres qui, sans être d'une haute importance, avaient chacune un caractère remarquable et fort piquant pour la position dans laquelle je me trouvais. Le général Drouot était chez moi lorsqu'on me remit mon courrier. Je n'avais rien de mystérieux dans ma conduite; je lus devant le général Drouot.

Nous percevons distinctement les coups de fusil, tirés rue Drouot.

Les présentations étaient faites par celui des deux généraux Bertrand ou Drouot auquel on s'était adressé pour avoir audience, et il n'y avait pas d'autre cérémonial. Il était facile de reconnaître la mesure de considération que l'Empereur avait pour les personnages qu'il recevait.

L'Empereur se leva. On lui servit le café; alors, avec une grâce qui fait encore tressaillir mon coeur, il m'offrit sa tasse: «Prenez, calmez-vous, car il n'y a pas de raison pour que vous vous tourmentiez ainsi outre mesurePuis, se tournant vers le général Drouot, il lui dit en riant: «S'il connaissait nos grandes querelles, ou plutôt mes querelles, il ne serait pas bouleversé comme il l'estEt le général Drouot ajouta en me regardant: «Vous pouvez croire ce que Sa Majesté vient de direL'Empereur donna la seconde tasse qu'on lui avait apportée au directeur des travaux des mines, vieillard extrêmement respectable qui, interdit, ne sachant de quelle manière remercier, lui dit, en parlant avec peine: «Vous faites comme notre père qui me le sert toujoursEt, en effet, lorsqu'il mangeait chez moi, je me réservais le plaisir de lui verser moi-même sa tasse et son petit verre.

Je n'avais pas revu Pétru, depuis quatre ou cinq mois, lorsque avant-hier, au coin de la rue Drouot, je le rencontrai et eus, je l'avoue, bien de la peine

On nous prévint en route que deux mille gardes-du-corps étaient postés dans la forêt de Fontainebleau. Quoique cet avis ne fût point vraisemblable, on jugea cependant nécessaire de ne point traverser la forêt sans précaution. Sur nos instances, l'Empereur se fit accompagner par environ deux cents cavaliers. Jusqu'alors il n'avait eu d'autre escorte que la voiture du général Drouot qui précédait la sienne, et la mienne qui fermait la marche. Les colonels Germanouski et Du Champ, le capitaine Raoul et trois ou quatre Polonais galoppaient aux portières. Nos chevaux, nos postillons, nos courriers parés de rubans tricolors, donnaient

Je la fends aussi, cette foule, et je gagne les boulevards , au coin de la rue Drouot, les passants nombreux regardent, en applaudissant, effacer le titre de: restaurant viennois inscrit en lettres d'or sur les glaces d'une devanture. Je rencontre des amis, le lieutenant-colonel Rousset, entre autres, qui ne craint pas de me dire sa confiance, toute sa confiance dans notre armée, et dans la situation aussi, dans la façon dont se présentent les choses fatales et grandioses prêtes

«M. le lieutenant général comte Drouot a déj

Pas de groupe sous le lampadaire de l'Opéra, pas de groupe au coin de la rue Drouot, je rencontre seulement quelques gens ramassés

Quel homme était-ce donc que l'Empereur! J'étais convaincu qu'il devait être irrité. Cependant il me parlait sans aucune espèce d'amertume, il avait le sourire sur les lèvres. Je fis cette observation au général Drouot. Le général Drouot me dit: «Il est toujours sans fiel. Sa colère ne passe pas l'épidermeEt il ajouta malicieusement: «Il n'est pas, comme vous, ému jusqu'au fond des entrailles