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Oh! madame!... voulut interrompre la gitanita. Vas-tu le défendre? fit la princesse qui lui jeta un regard de défiance; es-tu de son parti?... Je le vois, se reprit-elle avec un amer découragement; tu l'aimes mieux que moi, toi aussi... Dona Cruz éleva la main qu'elle tenait jusqu'

M. de Gonzague monta dans sa chaise et se fit conduire au pavillon de dona Cruz.

La régence se fane!... Quand nous aurions eu chacune deux ou trois bleues au dessert, Gonzague aurait-il été plus pauvre? Qu'est-ce que c'est que des bleues? demanda dona Cruz.

Et, toute sérieuse, elle demanda en croisant ses deux belles mains sur le genou du prince et en le regardant fixement: Quelle toilette ferai-je? Gonzague secoua la tête gravement. Aux bals de la cour de France, dona Cruz, répondit-il, il y a quelque chose qui rehausse et pare un beau visage encore plus que la toilette la plus recherchée. Dona Cruz essaya de deviner.

Messieurs, dit Chaverny avant de boire, dona Cruz vient d'éclairer ma position... je ne l'aurais pas mieux fait moi-même... cette position est romanesque... Buvez donc? fit la gitanita en riant. Permettez... depuis longtemps déj

Allons, allons, mes enfants, dit le père en souriant, embrassez-vous, je vous le permets. Dona Linda tendit

«Le comte fit part de cette déclaration aux ambassadeurs et aux grands d'Espagne. Cette base établie, non sans dégoût et mortification de la part de tous ceux de sa famille, il voulut marier son nouveau fils avec une des principales héritières d'Espagne. Il jeta les yeux sur la première dame du palais, dona Giovanna di Velasco, fille du connétable de Castille, lequel ne le cède

Ne négligeons rien, continuait le bossu, qui avait ses raisons sans doute pour compter sur la simplicité de dona Cruz; Gonzague et son âme damnée sont l

«Il me semble naturel en effet, Doña Clara, lui dit Jorge, que vous consultiez un professionnel de la Kabbale sur l'avenir de votre fils... Mais il faut prendre garde que ces kabbalistes sont souvent de simples coquins, fort capables d'attenter

»Durant le voyage, je reçus une lettre très-affectueuse de dona Josepha, qui m'instruisait de sa santé et de celle de mon fils. À son arrivée au château, elle m'en écrivit une autre encore plus affectueuse, où elle me pressait, en termes très-tendres et ridiculement exagérés, de la rejoindre immédiatement. Comme je me préparais

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passoit

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