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Mis à jour: 6 juin 2025


Dans la forme M. Decazes avait raison. Il n'avait fait, après tout, qu'user du droit que lui conférait la loi du 21 octobre 1814, laquelle disait en termes exprès: «Nul imprimeur ne peut mettre en vente un ouvrage, ou le publier de quelque manière que ce soit, avant d'avoir déposé le nombre prescrit d'exemplaires. Il y a lieu

Je le reconnais, toutefois, nous-mêmes trouvions alors le ministère Decazes tombé dans l'ornière de gauche et prêtant une oreille trop bénévole aux théoriciens de la doctrine dont la plupart mettaient leurs arguments au service de leurs intérêts. Bien des gens auraient voulu se rallier autour du duc de Richelieu pour faire contrepoids

Comme dans la session précédente, les premières rencontres eurent des questions de circonstance pour objet. Le cabinet jugea nécessaire de demander aux Chambres la prolongation, pour un an, des deux lois d'exception sur la liberté individuelle et les journaux. M. Decazes rendit un compte détaillé de l'emploi qu'il avait fait jusque-l

«Waddington, un monsieur pas français, pas compréhensif de tout ce que nous aimons... ah mon cher, il n'y a plus de dilettante politique, comme au dix-huitième siècle.., Say, un gentleman de cercle, qui a toujours chez lui un membre de la chambre anglaise, Decazes un rien, un néant, enfin c'est ce monsieur qui passe... Marcère, un puriste, un rédacteur, rien que cela, pas une flamme?... Ce n'est pas comme Ricard, qui avait une balle dans les reins, qui le faisait marcher un peu courbé, un passionné, celui-l

Le ministère est changé. La Chambre est dissoute. Mauvaise réception de Monsieur. Ses étranges paroles. Bienveillance du roi. Procès qui suit les affaires de Lyon. Ma lettre au duc de Richelieu. Violente humeur du conseil. Decazes me défend. Le roi me traite avec justice. Je reçois l'ordre de m'éloigner de la cour. J'y suis rappelé par mon service. Bonté et affabilité du roi. Chambre des pairs.

Les doctrinaires; qui avaient, de concert avec M. Decazes, défendu la loi des élections, soutinrent énergiquement le nouveau cabinet, dans lequel M. de Serre les représentait avec éclat. Les succès ne lui manquèrent point. Par une administration bienveillante et active, par des soins assidus pour ses partisans, par des appels fréquents et toujours accueillis

Le cabinet du duc de Richelieu entra aux affaires, bien venu du Roi et même du parti que les élections faisaient prévaloir. C'était un ministère vraiment nouveau et royaliste. Son chef, rentré naguère en France, honoré de l'Europe, aimé de l'empereur Alexandre, était pour le roi Louis XVIII ce que le Roi lui-même était pour la France, le gage d'une meilleure paix. Deux de ses collègues, MM. Decazes et Dubouchage, n'avaient pris, avant la Restauration, aucune part aux affaires publiques. Les quatre autres, MM. Barbé-Marbois, de Vaublanc, Corvetto et le due de Feltre, venaient de donner

[Note 139: En politique de même, il perce au fond de tous les écrits de Benjamin Constant un grand désir de convaincre, si toutefois l'auteur était convaincu. Après son équipée des Cent-Jours, quelques amis lui conseillèrent d'adresser un mémoire, une lettre au roi. Il fit remettre cette lettre par M. Decazes, et Louis XVIII, après l'avoir lue, le raya, de sa main, de la liste des proscrits. On lui en faisait compliment le soir: «Eh bien! votre lettre a réussi, elle a persuadé le roi.» «Je le crois bien; moi-même, elle m'a presque persuadéC'est ainsi qu'il se raillait et se calomniait

L'intrigue ayant manqué, on ne s'occupa plus alors de Martin, d'autant que le Roi l'avait fait remettre entre les mains de monsieur Decazes. Il passa quelques semaines

Monsieur Decazes, un peu repentant peut-être de sa conduite envers le duc, s'occupa avec empressement de lui faire décerner une récompense nationale; mais les germes d'ingratitude, soigneusement semés depuis quelques mois, avaient fructifié; et, lorsqu'on voulut faire valoir des services qu'on avait pris tant de peine

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