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Mis à jour: 9 juin 2025
L'oeuvre de Burns n'est ni très élevée, ni très complexe, ni très profonde. Il n'était pas de ces âmes prophétiques, comme ce siècle en a connu, qui gravissent les plus hauts sommets du présent, pour entrevoir l'avenir et annoncer des terres nouvelles; ni de ces âmes subtiles qui découvrent dans le coeur humain de nouvelles couches de souffrance, de joie, de scrupule, ou de rêverie; ni de ces âmes tourmentées des problèmes de la destinée qui se meurtrissent contre le mur d'Inconnu qui enferme le monde. C'était un esprit qui habitait les régions moyennes. Il s'est contenté de la réalité courante. Il a reproduit la vie humaine la plus commune, et il l'a plutôt peinte que pénétrée. Cette représentation est courte et décousue; elle consiste en une suite d'esquisses, de croquis détachés. Dans ce qu'elle exprime le mieux, elle ne découvre rien, et même n'entre pas très avant. Les sentiments et les personnages sont ordinaires; on dirait presque qu'ils tiennent du lieu commun, s'ils n'étaient si précis et si serrés. Ils sont admirablement saisis, mais ils sont un peu superficiels par suite de la rapidité du trait; ils sont même un peu diminutifs, de petite stature. Cependant quelle vérité, quelle intensité, quel mouvement, quelle action incessante et, quand il le faut, quelle énergie! Il prend la réalité d'un tel poignet qu'il en fait sortir le comique ou l'éloquence rien qu'en la pressant. Et aussi quelle variété, non seulement dans les sentiments, mais dans les situations et dans la forme même! Oui, il est vrai, sa représentation de la vie est réduite et sommaire; il n'en connaît ni les grandeurs, ni les héroïsmes, ni les sacrifices, ni les subtilités, ni les dépravations, ni les fruits rares, ni les fleurs délicates; il n'en offre que le pain bis. Mais on peut dire que,
Ces histoires coupées d'esquisses drolatiques par Got des gens passés et présents du Théâtre-Français, et qui comparait l'attitude d'Empis, devant les cotillons de la Comédie-Française,
Les opinions émises devant la Commission d'enquête ont été formulées avec un pessimisme complet. Il nous suffira de citer. La masse sort du collège, ayant vu défiler devant elle une série d'esquisses rapides, ayant plus ou moins absorbé sans profit un amas de matières indigestes.
Washington Irving, dans son excellent ouvrage The Sketch Book (le livre d'esquisses), nous raconte le trait suivant: «Me trouvant chez un ami, le matin de Noël, alors que j'étais encore au lit, j'entendis le bruit de petits pas qui résonnaient
Ces oeuvres étaient peintes ordinairement sur du carton; il trouvait que cette matière servait bien ses besoins renouvelés d'esquisses fortement dessinées et hachurées.
Que ne suis-je un peintre, pour réunir en un groupe tous les détails auxquels les poètes sont forcés de recourir! Oh! que n'ai-je des couleurs en place de paroles! mais du moins peut-être mes teintes serviront-elles d'esquisses et de légers croquis.
Le Prince Igor nous intéressait avant tout. Certains de ses numéros étaient terminés et orchestrés par l'auteur. Ce furent: le Ier chœur, la danse des Polovtzi, les lamentations des Yaroslavna, le récitatif et le chant de Vladimir Galitzky, l'air de Kontchak, l'air de la Kontchakovna et celui du prince Vladimir Igorovitch, ainsi que le chœur final. D'autres morceaux demeuraient sous forme d'esquisses achevées pour piano; enfin, le reste ne subsistait qu'en brouillons inachevés, sans parler de nombreuses lacunes; ainsi, il n'existait point pour les 2e et 3e actes de livret, ni même de scénario; ç
Ah! l'heureux temps, et quels rires attendris, au moindre souvenir! Les murs de l'atelier étaient justement couverts d'une série d'esquisses, faites l
The rural and domestic Life of Germany with characteristic sketches of its cities and scenery, collected in a general tour, and during a residence in the country in the years 1840, 1841 and 1842. La vie rurale et privée de l'Allemagne, suivie d'esquisses caractéristiques de ses villes et de ses paysages, etc., par WILLIAM HOWITT; in-8.
Jeudi 16 mars. Nous avons passé la journée chez Burty, rue du Petit-Banquier, dans un quartier perdu et champêtre, qui sent le nourrisseur et le marché aux chevaux. Un intérieur d'art, une resserre de livres, de lithographies, d'esquisses peintes, de dessins, de faïences; un jardinet; des femmes; une petite fille; un petit chien, et des heures où l'on feuillette des cartons effleurés par la robe d'une jeune, grasse et gaie chanteuse, au nom de Mlle Hermann. Une atmosphère de cordialité, de bonne enfance, de famille heureuse, qui reporte la pensée
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