Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !

Mis à jour: 24 juillet 2025


Comme le solitaire prononçait ces paroles, son oreille et celle du voyageur furent frappées d'accents douloureux qui retentissaient au-dessus de leurs têtes; en portant leurs regards vers le sommet de la roche, au pied de laquelle ils étaient assis, ils y aperçurent plusieurs femmes indiennes qui, réunies en cercle, faisaient les préparatifs d'une cérémonie funéraire; l'attention du voyageur fut vivement excitée; il se leva.

Lettre écrite par l'Adjudant Paul OUDIN, 128e Régiment d'Infanterie, tombé au champ d'honneur le 12 Mai 1916. A vous, chers et bons parents, mes dernières pensées. Je ne puis trouver d'accents assez forts pour vous remercier des bons soins dont vous m'avez entouré. Je vous sais

Un seul sentiment, l'indignation, anime et soulève toute cette oeuvre; mais que de formes il revêt, et que d'accents divers il fait jaillir! C'est d'abord le contraste cruel des deux Napoléon, qui se poursuit, tantôt avec une ironie cuisante, dans la chanson «Petit, petittantôt avec une fougue passionnée dans les iambes de la Reculade.

Il n'écoute rien; il lui faut des vociférations en style de tambour-major traînant depuis dix ans sur tous les théâtres Ultramontains; des thêmes communs, entrecoupés de repos, pendant lesquels il peut s'écouter applaudir, s'essuyer le front, rajuster ses cheveux, tousser, avaler une pastille de sucre d'orge. Ou bien, il exige de folles vocalises, mêlées d'accents de menace, de fureur, de gaîté, de tendresse, de notes basses, de sons aigus, de gazouillements de colibri, de cris de pintade, de fusées, d'arpéges, de trilles. Quels que soient le sens des paroles, le caractère du personnage, la situation, il se permet de presser ou de ralentir le mouvement, d'ajouter des gammes dans tous les sens, des broderies de toutes les espèces; rien ne le choque, tout va; une absurdité de plus ou de moins serait-elle remarquée en si belle compagnie! L'orchestre ne dit rien ou ne dit que ce qu'il veut; le Ténor domine, écrase tout; il parcourt le théâtre d'un air triomphant; son panache étincelle de joie sur sa tête superbe; c'est un roi, c'est un héros, c'est un demi-dieu, c'est un dieu! Seulement on ne sait quel est son sexe: on ne peut découvrir s'il pleure ou s'il rit, s'il est amoureux ou furieux; il n'y a plus de musique, plus de drame, plus de mélodie, plus d'expression, plus de sens commun: il y a émission de voix, et c'est l

L'ouverture ne produirait probablement aucun effet aujourd'hui. Elle contient une foule d'accents pathétiques et touchants, mais, en général, la couleur sombre y domine trop, et l'instrumentation ne peut que nous paraître sourde et flasque, bien qu'elle soit plus chargée que les autres compositions instrumentales de Gluck. Les trombones y figurent dès le commencement; les trompettes, les clarinettes et les timbales seules, en sont exclues. Il est bon de dire,

Ce poëme du Saule est plein d'accents de cette solennité et de cette spiritualité sublimes. On n'est embarrassé que du choix des citations. Voulez-vous la prière, écoutez: Comme avec majesté sur ces roches profondes Que l'inconstante mer ronge éternellement, Du sein des flots émus sort l'astre tout-puissant, Jeune et victorieux, seule âme des deux mondes! L'Océan fatigué de suivre dans les cieux Sa déesse voilée au pas silencieux, Sous les rayons divins retombe et se balance. Dans les ondes sans fin plonge le ciel immense. La terre lui sourit. C'est l'heure de prier: Être sublime! esprit de vie et de lumière, Qui, reposant ta force au centre de la Terre, Sous ta céleste chaîne y restes prisonnier! Toi, dont le bras puissant, dans l'éternelle plaine, Parmi les astres d'or la soulève et l'entraîne Sur la route invisible d'un regard de Dieu Tomba dans l'infini l'hyperbole de feu! Tu peux faire accourir ou chasser la tempête Sur ce globe d'argile

Mais le musicien ne fléchit pas un instant; il semble même redoubler d'inspiration pour combattre ce défaut; jusqu'au dernier moment le même souffle l'anime; il trouve des formes nouvelles pour peindre, et toujours avec une puissance plus irrésistible, le deuil, le désespoir, l'effroi, l'attendrissement, l'angoisse, la stupeur; il vous inonde de mélodies navrantes, d'accents douloureux, dans les voix, dans les parties hautes, dans les parties intermédiaires de l'orchestre; tout supplie, tout pleure, gémit; et ces pleurs intarissables nous touchent cependant; telles sont la force et la beauté de l'inspiration du poëte musicien.

»Tout ce que la terre et le ciel et les flots ont de voix, tout ce que la douleur, la joie et la colère ont d'accents, tout est l

Une petite nouvelle de Boccace en vers, intitulée Portia, vient après ce poëme. Ce n'est plus une débauche, c'est une ballade; mais cette ballade est écrite en style de poëte épique. Juliette et Roméo dans Shakspeare, Lara dans Byron n'ont pas d'accents

Juliette chante des morceaux mélangés d'accents vrais et de bouffonneries musicales. Dans un grand air, par exemple, elle s'écrie: «Qu'il n'est pas une âme aussi accablée de maux que la sienneNon v'é un alma a questo eccesso Sventurata al par di me.

Mot du Jour

qu'oublieuse

D'autres à la Recherche