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Tout, pour lui, depuis qu'il entendait la canonnade, se trouvait effacé: les lenteurs, les incertitudes de la marche, la démoralisation des troupes, le désastre de Beaumont, l'agonie dernière de la retraite forcée sur Sedan. Puisqu'on se battait, est-ce que la victoire n'était pas certaine? Il n'avait rien appris ni rien oublié, il gardait son mépris fanfaron de l'ennemi, son ignorance absolue des conditions nouvelles de la guerre, son obstinée certitude qu'un vieux soldat d'Afrique, de Crimée et d'Italie ne pouvait pas être battu. Ce serait vraiment trop drôle, de commencer

La démoralisation avait, du reste, été progressive. Le père de Montaigne lui disait que de son temps,

Les témoins s'embrouillent de plus en plus, et je ne sais ce qui arrive, parce qu'il est six heures, et que l'avocat ne fait que commencer sa plaidoirie: un tableau effrayant de la démoralisation des villages par la balle du colporteur, par les obscénités que les fillettes lui achètent en se cotisant.

La victoire d'Iéna avait eu des résultats immenses. La démoralisation la plus complète avait gagné non seulement les troupes qui tenaient la campagne, mais aussi les garnisons des places fortes. Magdebourg se rendit sans même essayer de se défendre; Spandau fit de même; Stettin ouvrit ses portes

Mais au moins, le service musical de la chapelle Sixtine a-t-il conservé sa dignité et le caractère religieux qui lui convient, tandis qu'infidèles aux anciennes traditions, les autres églises de Rome sont tombées, sous ce rapport, dans un état de dégradation, je dirai même de démoralisation, qui passe toute croyance.

Acajou, riant d'un rire sardonique, donne la moralité: C'est un adroit filou qui en a roulé d'autres comme des chapeaux d'Auvergnats. Ah! parbleu! s'écrie Rabasse, on l'a dit et c'est rudement vrai: les armées permanentes sont une cause permanente de démoralisation. Tant qu'elles existeront...

«Et puis, l'oisiveté est une autre cause de démoralisation, et c'est encore par l

Ils soulevaient ainsi le peuple contre ses pasteurs et le disposaient au mépris de la religion, d'où s'ensuivait nécessairement sa démoralisation. Ces injures et ces calomnies, répandues dans toute la France, furent le prélude de l'horrible persécution contre le clergé et des massacres qui en furent la suite.

Mais, dans ces termes, le débat est-il véritablement vidé? la civilisation est-elle suffisamment défendue lorsqu'on a montré qu'elle n'est point une cause de démoralisation, et ne reste-t-il pas, pour qu'elle gagne véritablement le procès,

Les causes de cette désaffection publique sont-elles dans la légèreté de l'esprit français? dans un abaissement des caractères déprimés par la plus stupéfiante humiliation nationale? dans une démoralisation consécutive