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Mis à jour: 13 mai 2025
Et je sentis la main de Belette qui disait: Je te prends et je suis prise. Vigne, pousse, pousse et nous lie! Nous descendîmes la colline. Près de rentrer, nous nous déprîmes. Depuis lors, plus ne nous prîmes. Ah! rossignol, tu chantes toujours. Pour qui ton chant? Vigne, tu pousses. Pour qui tes liens, amour?...
Les surveillants paraissent au moins aussi déprimés que moi par le climat. Mardi 23 juillet 1895. Encore une mauvaise nuit. Douleur rhumatismale, plutôt nerveuse, qui se déplaçait constamment, tantôt intercostale, tantôt se fixant entre les deux épaules. Mais je lutterai aussi contre mon corps; je veux vivre, voir la fin. Mercredi 24 juillet 1895. Le spleen me prend aussi.
La répartition des mers. Un des traits les plus généraux et les plus visibles de notre satellite est constitué par de vastes taches de couleur sombre, formant des compartiments déprimés. Nous leur garderons, pour nous conformer
Esprits déprimés, vieux radoteurs... Ceux-ci sont les stricts orthodoxes. Ceux qui ne croient que par le cœur, comme des enfants, sans entrer dans tout cet attirail apologétique. Oh! ceux-ci, je les aime, j'en conçois un ravissant idéal; mais nous sommes en critique, ils ne comptent pas. En morale, je fraterniserais avec eux.
Le bagne est situé dans l'enceinte du port; des faisceaux de fusils, deux pièces de canon braquées devant les portes, m'indiquèrent l'entrée des salles, où je fus introduit après avoir été examiné par tous les gardes de l'établissement. Les condamnés les plus intrépides l'ont avoué: quelqu'endurci que l'on soit, il est impossible de se défendre d'une vive émotion au premier aspect de ce lieu de misères. Chaque salle contient vingt-huit lits de camp, nommés bancs, sur lesquels couchent enchaînés six cents forçats; ces longues files d'habits rouges, ces têtes rasées, ces yeux caves, ces visages déprimés, le cliquetis continuel des fers, tout concourt
«Le jour reparut; silencieux et triste, nous faisions le guet, attendant un secours qui ne pouvait pas venir; une autre nuit lui succéda, agitée de rêves fantastiques pendant lesquels des festins somptueux et les fêtes bacchiques défilaient sous nos yeux! Le réveil n'en fut que plus pénible! Le quatrième et le cinquième jour parurent! Cinq jours de véritable captivité! La faim se lisait sur tous les visages déprimés qui accusaient l'obsession d'une même idée fixe, d'une pensée
Comment décrire ce spectacle, grandiose s'il n'eut été si lugubre, et d'un pathétique dont il y a peu d'exemple dans l'histoire; des vieillards, des femmes et des enfants, portaient sur leur dos, dans leurs bras, traînaient dans des brouettes, dans des véhicules de toute description, du linge, des objets de piété, des meubles petits ou grands, des lits, des matelas, des chaises, enfin, tout ce que l'on avait pu emporter... D'autres, j'oserais dire plus fortunés, emmenaient la vache et la chèvre, le vieux cheval, un mouton ou le chien fidèle... Tous allaient tête basse, harassés, déprimés, affaissés.
Cette veille de Noël, il trouva Hervé et sa fille seuls, évidemment déprimés, plus silencieux qu'
Mais les Feroïens sont restés déprimés et meurtris de trop de coups si longtemps supportés. Les longues persécutions acharnées leur ont donné une empreinte indélébile de résignation abrutie, et ce je ne sais quoi d'effarouché, de «chien battu», qu'ont les créatures qui, de génération en génération, vécurent en supportant de si dures privations, et furent traquées sans merci.
Les causes de cette désaffection publique sont-elles dans la légèreté de l'esprit français? dans un abaissement des caractères déprimés par la plus stupéfiante humiliation nationale? dans une démoralisation consécutive
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