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Mis à jour: 5 mai 2025
Corrigé par tes beaux discours J'avois résolu d'être sage, Et dans un accès de courage Je congédiois les amours Et les chimères du bel âge. La nuit vint; un profond sommeil Ferma mes paupières tranquilles; Tous mes songes étoient faciles; Je ne craignois point le réveil. Mais quand l'aurore impatiente, Blanchissant l'ombre de la nuit, À la nature renaissante Annonça le jour qui la suit: L'amour vint s'offrir
Il me sembla que cette inscription m'accusoit d'un long oubli; je me repentis d'avoir laissé passer une année sans venir auprès de ce monument. Ah! pourquoi, pensois-je en moi-même, pourquoi Sophie est-elle la cause de tous mes malheurs? Mes regrets, souvent troublés par cette idée, ne m'ont point ramenée dans ces lieux; je craignois d'offenser sa mémoire en y portant le sentiment de mes peines, et j'aimois mieux étouffer les pensées qui, tour
Je sors d'auprès de vous, Madame, pour être plus avec vous que je n'étois. La comtesse de Maure m'observoit, et je n'osois vous regarder; je craignois même, comme elle est habile, que cette affectation ne me découvrît: car enfin, Madame, on sçait si bien qu'il vous faut regarder quand on est auprès de vous que l'on croit que qui ne vous regarde pas y entend finesse. Si je ne vous vois pas maintenant, Madame, au moins ne s'aperçoit-on pas que j'ai de l'amour, et j'ai la liberté de ne l'apprendre qu'
C'est au coeur, me dit-il, que j'éprouve une souffrance aiguë. Et il y portoit la main, comme pour soulager une douleur insupportable; j'étois dans un trouble, dans une émotion qui surpassoit tout ce que j'ai jamais éprouvé; je craignois le mal que je pouvois lui faire en lui parlant, et cependant je souhaitois vivement lui rendre la liberté, et le délivrer d'un combat qui offensoit mon coeur, quoique la peine qu'il en ressentoit dût me toucher. Toute explication me fut impossible; il évita, il repoussa tout, et me quitta, pouvant
Je craignois
Tous mes efforts ont été vains; ce que je craignois le plus est arrivé; sans le souvenir de ma femme et de mon enfant, je ne sais si ma raison me suffirait pour supporter l'affreux spectacle de douleur dont je suis témoin. Il paroît que Léonce ne s'étoit pas entièrement confié
Je ne voulus point avoir d'amans, quoique je fusse jolie et spirituelle; je craignois l'empire de l'amour; je sentois qu'il ne pouvoit s'allier avec la nécessité de la dissimulation; j'avois pris d'ailleurs tellement l'habitude de me contraindre, qu'aucune affection ne pouvoit naître malgré moi dans mon coeur; les inconvéniens de la galanterie me frappèrent très-vivement, et, ne me sentant pas les qualités qui peuvent excuser les torts d'entraînement, je résolus de conserver intacte ma considération au milieu de Paris.
En prenant ces lettres, il soupira et se tut; j'étois aussi moi-même dans l'anxiété la plus douloureuse; je ne sais ce que je désirois, je ne sais ce que je craignois d'entendre, mais je souffrois cruellement. Dès les premières lignes de la lettre de M. de Lebensei, Léonce changea de visage; il pâlit et rougit alternativement, sans lever les yeux sur moi, ni prononcer une seule parole, quoique tout trahît en lui l'émotion la plus profonde. Après avoir lu la lettre de M. de Lebensei, il prit la mienne, ses mains trembloient en la tenant; je m'efforçois pendant ce temps de paroître tranquille et de dissimuler ma violente agitation; il me sembloit qu'il y avoit une sorte de honte, dans cette situation,
Je craignois, je ne puis me le cacher, je craignois que M. Barton ne dît
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