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Mis à jour: 1 juin 2025
Item, au temps de celuy pape, Mainfroy, fils bastart de Federic empereur, portant soy comme hoir de Conradin, neveu de Federic dessusdit, lequel Conradin estoit faussement tenu pour mort, fu premièrement escommenié, pour ce que, au préjudice de l'églyse, il avoit pris et mis la coronne du royaume de Secile en sa domination et puissance, sans juste cause et
Madame, le Roy, Mon Seigneur, et la Royne Très Chrestienne, sa mère, vous ont envoyé toutes les déclarations, que demandiez, touchant le tiltre de vostre coronne, et y ont de tant plus soigneusement procédé qu'ilz vous ont vollu faire cognoistre qu'ilz n'ont jamais pancé de vous offancer, et que ceulx l
En ce point ai grant piece esté, Tant que me vit ainsinc maté La dame de la haute garde, Qui de sa tour aval esgarde: Raison fu la dame apelée. Lors est de sa tour devalée, Si est tout droit vers moi venue. El ne fu joine; ne chenue, Ne fu trop haute, ne trop basse, Ne fu trop megre, ne trop grasse, Li oel qui en son chief estoient, A deus estoiles resembloient: Si ot où chief une coronne, Bien resembloit haute personne. A son semblant et
Le Roy Alphonse vsa les vestemens et habillemens de sa personne, si temperée, et si modestement, qu'en cela il n'estoit gueres different de son populaire. Et souuentefois souloit dire ces paroles: qu'il desiroit de sembler plus tost Roy en coustumes et autorité, qu'en la coronne, et aux robbes.
A quoy la dicte Dame estant préparée de responce, après avoir avecques tout respect et grande démonstration de faveur accepté voz recommendations, et monstré qu'elle avoit grand contantement de veoir que vous la teniez pour aultant vostre bonne seur comme elle asseuroit bien fort de l'estre, et desirer vostre prospérité, m'a dict que sur les pratiques que je luy allégois d'Allemaigne, elle ne me pouvoit dire sinon ce que, despuys six sepmaines une aultre foys elle m'en avoit respondu: c'est qu'elle n'y en avoit mené ny commandé d'y en mener aulcune, en quelque façon que ce fût, contre vous ny contre vostre coronne, et estat; et n'estoit pour non plus souffrir en Angleterre qu'on y en menât pas une, que raysonnablement l'on peult juger estre contre la paix, laquelle elle vouloit de son costé meintenir ferme et asseurée avec Vostre Majesté; seulement elle avoit, l
J'entendz que, pour le regard des choses, que ceulx cy prétendent capituller sur la dicte restitution, il y en a quatre principalles: la première, d'asseurer le tiltre de ceste coronne, et qu'il demeure cédé et remiz entièrement
Et ne preniez qu'en bonne part si le Roy et la Royne vous en font faire ceste instance; car, par le debvoir de l'alliance et du parentaige, et de l'obligation des trettez qu'ilz ont avec ceste princesse et sa coronne, ils ne peuvent laysser de pourchasser sa restitution, ny s'en excuser envers Dieu ny le monde. Néantmoins ilz ont bien vollu attandre paciemment l'ordre que vous y mettriez, et n'y entreprendre rien de leur main, de peur de vous offancer, sinon seulement de vous en faire solliciter, par moy leur ambassadeur, le plus modestement que j'ay peu; et ne prétendent encores de s'en mesler, tant qu'il y aura espérance de vostre secours; ains seront très ayses d'en raporter
Sur quoy, ayant l'évesque de Roz, au nom de la dicte Royne d'Escoce, et moy, de la part de Leurs Majestez Très Chrestiennes, bien fort pressé la Royne d'Angleterre que, puisqu'il luy aparoissoit meintennant de la manifeste usurpation qu'on vouloit faire de la coronne d'Escoce sur ceste princesse, qu'elle luy vollût accorder ou reffuzer résoluement son secours,
La dicte Dame me respondit que, pour la confiance que Voz Majestez Très Chrestiennes monstriez avoir d'elle en voz affaires, en les luy faisant ainsy privéement communiquer, elle se sentoit obligée d'en desirer la prospérité, comme certes elle faisoit, et vous prioyt de croyre que, demeurant la religion, de laquelle elle estoit, en son estat, elle desiroit au reste que vostre coronne et vostre grandeur et authorité, ensemble celle de la Royne, vostre mère, demeurassent aussi entiers et sans diminution comme elle le desiroit pour elle mesmes; et que la sublévation d'Irlande n'estoit guyères dangereuse, car estoit chose assés ordinaire
Les chefz Royaux environne De mainte, et mainte coronne Qu'elle ourdist: Et des hautz sceptres Garnit leurs mains: Et leurs filz Souvent ne sont point assis Au trosne de leurs ancestres. L'un mect bas, l'autr' en hautz lieux Pour un temps donne l'entrée: L'un ha pir' et l'autre mieux Bien qu'ilz soyent d'une ventrée.
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