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Mis à jour: 16 juin 2025
Continuez, lui crie-t-on de toutes parts, le jury délibère. Il continue; tout le monde sort et le pauvre naïf reste seul, en train de dire la poésie de Coppée. Quelques instants après, le jury qui était sorti pour s'esclaffer
Puis nous avons été traînées, avec une centaine de femmes et d'enfants, dans le moulin de Mme Coppée. Nous avons dû passer auprès des fusillés; on ne nous permettait pas de nous arrêter; j'ai pourtant reconnu mon père, dont le crâne était ouvert.
[Note 17: C'est ici qu'il faudrait citer le Passant, si le théâtre de M. Coppée ne voulait une étude
Non certes, les Poèmes saturniens publiés en 1867, le jour même où François Coppée donnait son Reliquaire, n'annonçaient point le poète le plus singulier, le plus monstrueux et le plus mystique, le plus compliqué et le plus simple, le plus troublé, le plus fou, mais
Et la poésie? On attend de M. Sully-Prudhomme un poème intitulé: Le Bonheur. Il fera celui des professeurs de mathématiques, car les trois premiers livres de la géométrie de Legendre s'y trouveront mis en sonnets. M. François Coppée nous donnera quelques poèmes populaires et familiers. Le plus remarqué sera la Crémière: C'était une humble femme, une simple crémière De Montmartre.
Jean est toujours premier valet de chambre chez Mme la comtesse Fardin et Mme la comtesse est, peut-être, la femme de France dont on parle le plus, en ce moment. A son service de valet de chambre, Jean ajoute le rôle de manifestant politique et de conspirateur royaliste. Il manifeste avec Coppée, Lemaître, Quesnay de Beaurepaire; il conspire avec le général Mercier, tout cela, pour renverser la République. L'autre soir, il a accompagné Coppée
Avant tout, M. François Coppée est un surprenant Versificateur. Non qu'il n'ait peut-être quelques égaux dans l'art de faire les vers. Mais cet art,
Aujourd'hui, il nous donne en cinquante pages ses feuilles d'automne. Un mince cahier de vers d'amour, qu'il intitule: Arrière-saison. Il y montre avec une douce mélancolie ses cheveux qui grisonnent aux tempes. Il est jeune encore, puisqu'il dit qu'il vieillit. Ce n'est pas que je le soupçonne de quelque affectation. Je suis persuadé, au contraire, qu'il sent l'âge venir et qu'il en est attristé. Quoi de plus naturel? La vieillesse ne se sent vivement que par avance. L'on en goûte le frisson et les affres avant d'y être entré. Le crépuscule de la jeunesse est l'heure la plus mélancolique de la vie. Il faut du courage ou de l'étourderie pour le passer sans trop rechigner. M. Coppée n'est point un étourdi, pourtant il ne rechigne pas, et, s'il lui échappe quelque plainte, on y sent autant de résignation que de tristesse. C'est un moment
Mon cher Coppée, chacun de ces mots dont je comprends si bien le sens, ou, pour mieux dire, les sens mystérieux, me donne un frisson, et me voil
Oserai-je maintenant élever un doute? Je ne sais si M. Coppée a toujours su se garder de l'écueil du genre qu'il pratique avec tant de dextérité. Justement parce qu'il est trop sûr de son art et de son habileté
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