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Mis à jour: 27 juin 2025
Mais, pour fonder et pour consolider parmi nous la démocratie, pour arriver au règne paisible des lois constitutionnelles, il faut terminer la guerre de la liberté contre la tyrannie, et traverser heureusement les orages de la révolution: tel est le but du système révolutionnaire que vous avez régularisé.
Permettez-moi d'abord d'examiner en elle-même votre mécanique politique: vous balancez les trois pouvoirs, et vous les confinez chacun dans leur département; celui-ci fera les lois, cet autre les appliquera, un troisième les exécutera: le prince régnera, les ministres gouverneront. Merveilleuse chose que cette bascule constitutionnelle! Vous avez tout prévu, tout réglé, sauf le mouvement: le triomphe d'un tel système, ce ne serait pas l'action; ce serait l'immobilité si le mécanisme fonctionnait avec précision; mais, en réalité, les choses ne se passeront pas ainsi. A la première occasion, le mouvement se produira par la rupture d'un des ressorts que vous avez si soigneusement forgés. Croyez-vous que les pouvoirs resteront longtemps dans les limites constitutionnelles que vous leur avez assignées, et qu'ils ne parviendront pas
«Il n'en est qu'une dont on pût attendre, quelque effet; ce serait la déclaration la plus solennelle qu'en aucun cas le roi n'accepterait une augmentation de pouvoir qui ne lui fût volontairement accordée par les Français, sans le concours et l'intervention d'aucune puissance étrangère, et librement délibérée dans les formes constitutionnelles.
Et votre Canada, malgré l'immensité de ses richesses naturelles, est désert au dedans, déprécié au dehors. Qu'importent, je vous le demande, vos réformes constitutionnelles, si les gens pour qui vous les fabriquez manquent de pain?
«4° Quelques cahiers reconnaissent au roi le pouvoir législatif, limité par les lois constitutionnelles et fondamentales du royaume; d'autres reconnaissent que le roi, dans l'intervalle d'une assemblée d'états-généraux
Ces dispositions extrêmes, inspirées par le désespoir et la fureur, restèrent, au surplus, sans exécution: mais un esprit public prononcé, une énergie admirable, se montrèrent dans toutes les classes en Prusse. Les sociétés secrètes, formées pour préparer la délivrance du pays, avec l'assentiment et l'appui du gouvernement, produisirent l'effet qu'on avait dû en attendre. Les idées de liberté, le désir d'institutions et de garanties constitutionnelles, s'étaient mêlés aux idées d'affranchissement et d'indépendance nationale. Tous ces désirs, toutes ces espérances, avaient été encouragés par le roi,
Si donc il s'agit des libertés légales, constitutionnelles, des libertés écrites, il est impossible de nier que, depuis 1830, il y a eu,
«Je voudrais enfin espérer, mais je n'espère guère, qu'on trouvera moyen de garantir au pays ces concessions. Ne nous faisons pas d'illusion. Rome est toujours Rome. Tant que vous serez en Italie, c'est bon; mais après? De véritables garanties constitutionnelles, directes, positives, vous en voudrez et vous ne pourrez en obtenir. Le pape ne voudra pas, l'Autriche non plus. Dès lors que restera-t-il? L'influence française, les stipulations, l'ambassade du roi
La royauté fut établie en Hollande, et fondée sur des lois constitutionnelles. Le prince Louis ne fut pas consulté. Il apprit par des rumeurs sans authenticité qu'il était fortement question de lui pour cette nouvelle couronne. Les membres de la députation vinrent enfin le trouver (le 5 juin, après la déclaration faite par l'empereur au Sénat), ils l'informèrent de tout, en l'assurant que la nation serait heureuse de le voir
Il avait pour les libéraux une antipathie de longue date. Tout de suite, il l'avait ressentie, quand, officier de Sébastopol, il s'était trouvé dans le cénacle des gens de lettres de Pétersbourg. Ç'avait été une des causes de son malentendu avec Tourgueniev. L'aristocrate orgueilleux, l'homme d'antique race, ne pouvait supporter ces intellectuels et leur prétention de faire, bon gré, mal gré, le bonheur de la nation, en lui imposant leurs utopies. Très Russe, de vieille souche , il avait une méfiance pour les nouveautés libérales, pour ces idées constitutionnelles qui venaient d'Occident; et ses deux voyages en Europe ne firent que fortifier ses préventions. Au retour du premier voyage, il écrit:
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