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Mis à jour: 10 juillet 2025
On peut imaginer un point extrême où la liberté et l'égalité se touchent et se confondent. Je suppose que tous les citoyens concourent au gouvernement et que chacun ait un droit égal d'y concourir.
Qui de nous ne trouve, sans les chercher, mille et mille raisons de n'être pas heureux? Sans doute, il est utile que le sage nous indique les plus hautes, car les raisons très hautes pour n'être pas heureux, sont bien près de se transformer en raison d'être heureux. Mais toutes celles qui ne portent pas en elles ces germes de grandeur et de bonheur (il y a en effet dans la vie morale une foule d'espaces découverts où grandeur et bonheur se confondent), ne méritent pas qu'on les énumère. Il faut être heureux pour rendre heureux; et il faut rendre heureux pour demeurer heureux. Essayons d'abord de sourire pour que nos frères apprennent
De tous les hommes qui ont illustré leur nom dans les oeuvres de l'esprit, le Tasse est peut-être celui dont la vie et l'oeuvre se confondent le mieux dans une conformité plus complète. Son oeuvre est un poëme, sa vie une poésie: en lui naissance, patrie, nature, génie, vie, amour, infortune et mort, tout est d'un poëte. On ne sait, quand on le lit, si c'est l'homme qui est le poëme ou si c'est le poëme qui est l'homme. Nous allons écrire son histoire le plus poétiquement aussi que nous le pourrons; d'une main qui dans un autre âge écrivit des vers; mais nous n'ajouterons aucune circonstance ou aucune couleur imaginaire
La jangada passa, quelques jours après, devant le village de ce nom, qui bien que bâti sur des terrains inondés pendant plusieurs mois de l'année, est devenu, depuis 1845, une importante ville de cent maisons. Au milieu de cette contrée fréquentée par les Tapuyas, ces Indiens du Bas-Amazone se confondent de plus en plus avec les populations blanches, et leur race finira par s'y absorber.
L'homme, par un instinct occulte, mais universel, semble avoir senti, dès le commencement des temps, le besoin d'exprimer dans un langage différent ces choses différentes. Placé lui-même, pour les sentir et les exprimer, sur les limites de ces deux natures humaines et divines qui se touchent et se confondent en lui, l'homme n'a pas eu longtemps le même langage pour exprimer l'humain et le divin des choses. La prose et la poésie se sont partagé sa langue, comme elles se partagent la création. L'homme a parlé des choses humaines; il a chanté les choses divines. La prose a eu la terre et tout ce qui s'y rapporte; la poésie a eu le ciel et tout ce qui dépasse, dans l'impression des choses terrestres, l'humanité. En un mot, la prose a été le langage de la raison, la poésie a été le langage de l'enthousiasme ou de l'homme élevé par la sensation, la passion, la pensée,
J'ai entendu un bruit de voitures et de plusieurs voix. Comme maintenant tous les sons se confondent dans ma tête! (Apercevant Gabor.) Encore ici! Ne serait-ce pas un espion de mes persécuteurs! Son offre franche et soudaine, et
L'ouïe n'est pas oubliée dans ce bercement général, et les craquements de la sève, la voix de toutes les plantes se confondent dans le susurrement des milliers d'insectes. Vous vous sentez comme engourdi et presque ensommeillé... Un peu plus ce serait ce que la langue médicale, si pittoresque, appelle «l'effet stupéfiant...» Mêmes impressions dans la nacelle du ballon.
LE SERVITEUR DE LUCIUS. Cinq mille écus, seigneur. TIMON. Cinq mille gouttes de mon sang pour les payer. Et le vôtre? Et le vôtre? LE SERVITEUR DE VARRON. Seigneur! LES DEUX SERVITEURS DE VARRON. Seigneur! TIMON. Tenez, prenez-moi, déchirez-moi, et que les dieux vous confondent?
Les dames se confondent en remercîmens; le châle volé était un beau cachemire, et valait bien la peine qu'on remerciât Jean. «Il m'a aussi emporté mon sac,» dit une de ces dames, «mais c'est une perte bien légère, il n'y avait dedans que ma bourse contenant peu d'argent, un mouchoir et un souvenir... qui est ce que je regrette le plus.»
C'est un panorama toujours nouveau qui se déroule aux yeux de l'aéronaute; suspendu dans l'immensité de l'espace, la terre se creuse sous la nacelle comme une vaste cuvette dont les bords se confondent au loin avec la voûte céleste. On n'a pas le loisir de contempler longtemps le même paysage quand le vent est rapide; si le puissant aquilon vous entraîne, la scène terrestre est toujours nouvelle, toujours changeante. Je ne tarde pas
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