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Mis à jour: 1 juillet 2025
Les faux miracles sont plus difficiles en France qu'ailleurs. Les calvinistes relevaient donc la tête, et, dans les premiers jours de décembre, M. de Bois-Doré vit arriver chez lui M. de Beuvre, très-animé, lequel lui dit en confidence: Mon voisin, je viens vous consulter sur une affaire d'importance. Vous savez qu'allié de près au duc de Thouars, chef de la maison de la Trémouille, dont j'ai l'honneur d'être, j'ai songé, le printemps dernier,
En le laissant causer, Bois-Doré vit bien qu'il était alléché par les bonnes conditions que la royauté était forcée de faire aux seigneurs calvinistes chaque fois qu'elle éprouvait un échec. De Beuvre n'était pas homme
»J'avais vu, au château de Sarzay, beaucoup de ces animaux d'étoupe et d'autres babioles dont se jouaient les petits Barbançois. Les seigneurs de Barbançois, qui ont possédé ce fief de Sarzay de père en fils, depuis longues années, étaient des plus enragés contre les pauvres calvinistes, et,
Mystères, sotties, moralités, tous ces amusements, où se délectaient la foi grossière et la malice naïve de nos aïeux, allaient être oubliés: le moine de Wittemberg avait jeté dans le monde le démon <p.045> de l'examen; l'Europe féodale était remuée jusque dans ses entrailles; Paris allait sortir de son repos et se lancer de nouveau dans les révolutions avec ses passions, ses vertus, ses fureurs. La ville de sainte Geneviève et de saint Louis, la ville de la Sorbonne et de l'Université, la ville aux mille cloches, aux quatre-vingts églises, aux soixante couvents, était fondamentalement catholique: institutions municipales, corporations de métiers, cérémonies populaires, existence publique, foyer domestique, tout était imprégné de catholicisme; le catholicisme était l'âme de la cité, la source de toutes les jouissances, le bonheur, la gloire, la vie entière du peuple. Aussi, quand les Parisiens virent les calvinistes attaquer tout ce qu'ils aimaient, se railler de tout ce qu'ils vénéraient, insulter leurs pompeuses fêtes, détruire églises, croix, tombeaux, statues, ils les regardèrent comme des infidèles, des Sarrasins, des sauvages, ils ne songèrent qu'
En apercevant cette flotte, et en apprenant l'arrivée de Joyeuse, les calvinistes du duc d'Anjou firent une grimace presque égale
L'esprit de réforme que les luthériens, les calvinistes et les anabaptistes des Pays-Bas, de l'Allemagne et de Genève répandirent dans le peuple n'eut rien de commun avec la révolution officielle.
Je l'aimais plus que je ne saurais le dira, Adamas! non point tant pour les rapports que nous eûmes ensemble quand il eut âge d'homme, puisque alors nous suivions des partis différents, et que nous nous rencontrions bien peu, le temps seulement de nous embrasser et de nous dire que nous étions amis et frères quand même, mais pour les gentillesses de son enfance, dont, comme je te l'ai conté, j'eus occasion de prendre soin et garde en une absence de mon père qui dura environ un an. La seconde femme de celui-ci était morte, et le pays fort inquiété. Je savais mon père haï des calvinistes, et je crus devoir apporter protection, ici,
Les sujets du duc d'Anjou, dont beaucoup étaient des calvinistes ardents, lui en voulaient d'être Français, catholique et impuissant. Il pouvait leur reprocher avec autant de raison de lui laisser presque toute la charge de les défendre et de l'en récompenser par une hargneuse méfiance. Il n'obtenait pas des
«Si vous cherchez, dit Rulhières, dans la collection du clergé cette longue suite de lois, toujours plus sévères contre les calvinistes, que, de cinq ans en cinq ans,
Vous savez que ce parti donna souventes fois la main aux calvinistes; si bien que, de faiblesse en faiblesse, M. Sylvain se trouva, un autre beau matin, huguenot et grand serviteur et amé du jeune roi de Navarre. Son père, l'ayant su, le maudit, et, pour lui faire pièce, imagina, en son âge mûr de se remarier et de lui donner un frère.
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