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Tu sais que notre Henri eût voulu en faire des calvinistes, ce qui les eût sauvés, en les faisant Français.

Les hommes d'actualité (comme on dit maintenant), voyant les temples calvinistes aussi dépeuplés que les temples catholiques, et les protestants faire de leur croyance aussi bon marché que nous de la nôtre, en ont inféré que la réforme avait été, dès sa naissance, la plus plate idée du monde, et la forme religieuse de cette idée la plus pauvre et la plus aride de toutes les formes. Par une réaction fort étrange et que le caprice de la mode peut seul expliquer (car du temps de Benjamin Constant, temps qui n'est pas très-reculé, il y avait de toutes parts éloges et sympathies pour la réforme, aversion et déchaînement contre le catholicisme), toute la génération écrivante et déclamante se rejette dans le sein d'une orthodoxie de fraîche date, singulièrement amalgamée

Si ce principe de l'unité de civilisation chrétienne par les armes sur tout le globe était vrai en Asie et en Afrique, il serait vrai, sans doute, en Europe; s'il était vrai contre les peuples qui ne sont pas chrétiens, il serait vrai contre les peuples qui ne sont pas orthodoxes; la guerre et l'extermination seraient de droit divin entre les catholiques et les schismatiques; un symbole de foi serait inscrit sur tous les drapeaux opposés des cultes qui se partagent le continent; les catholiques ne reconnaîtraient que des catholiques pour nationalités légitimes et indépendantes, les grecs que des grecs, les anglicans que des anglicans, les luthériens que des luthériens, les calvinistes que des calvinistes; Russes, Prussiens, Anglais, Irlandais, Hollandais, Belges, Français, Espagnols, Italiens, seraient dans un antagonisme permanent et universel; la terre ne serait qu'une sanguinaire anarchie au nom du ciel. Un tel principe de diplomatie, que des fanatiques hors de sens cherchent

25,000 protestants, ayant pour eux les huit capitouls, devaient célébrer la Cène le 17 mai; le parlement leur défend de s'assembler et ordonne aux étrangers de sortir de la ville. Un cordelier défroqué, chef des calvinistes, les excite

Sciarra d'Alvimar pouvait donc espérer n'être pas inquiété dans le fond d'un de ces châteaux du bas Berry, , depuis quelques années, les calvinistes ne tentaient plus de coups de main, et les seigneurs royalistes, anciens ligueurs, anciens politiques et autres, n'avaient plus l'occasion ou le prétexte d'aller repaître leurs hommes d'armes aux dépens de leurs voisins, amis ou ennemis.

Aux temps de la Réforme, un grand nombre de chartreuses furent saccagées ou supprimées et beaucoup de religieux souffrirent le martyre, tel que les calvinistes et autres artistes en tortures savaient l'administrer dans ce siècle renaissant, d'une si prodigieuse poussée esthétique.

Les austères origines calvinistes, l'aspect du pays, la dureté des longues persécutions entreprises pour rétablir l'épiscopat, conspirèrent pour donner

Le catholique Philippe II sentait les Pays-Bas frémir sous sa pesante main de fer. Il voyait cette riche proie travaillée par la réforme, et il dressa contre les calvinistes, en qui il voyait surtout des ennemis de son administration absolue, les bûchers, les potences et les échafauds dont le duc d'Albe se fit le sanguinaire pourvoyeur.

Les calvinistes, qui se trouvaient dispersés dans différents quartiers de la ville, avaient reçu secrètement avis de se rapprocher du quartier du Louvre demeuraient leurs chefs: on accusa depuis Catherine de Médicis d'avoir transmis cet avis aux victimes qu'elle voulait, en quelque sorte, rassembler sous sa main avant le massacre.

Et ce n'est pas ici le lieu d'examiner quelle est en cela l'opinion des calvinistes. OBJECTION XIIIe. SUR LA QUATRIÈME M