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Cessez donc ces boutades d'enfant malade. Elles viennent de ce que vous rêvez au lieu de réfléchir; de ce que vous suivez la passion au lieu de la raison. Vous vous calomniez, lorsque vous parlez ainsi.
Hélas! je crains que Maxence n'ait d'autres soucis; il a voulu sortir, ce matin, absolument, malgré ma mère... Mais Marius l'arrêta, et de l'accent d'un homme qui en sait bien plus qu'il n'en veut dire: Ne calomniez pas Maxence, fit-il. Peut-être est-ce par lui que nous viendra le secours dont nous avons besoin... Onze heures sonnaient. Mlle Gilberte tressaillit.
Vous vous calomniez, monsieur le comte, répondit-elle avec un demi-sourire. Certes, non; mais, en réalité, est-ce une perspective bien attrayante que cet éternel horizon de prés, de bois et de grèves, aux fenêtres d'un vieux château perdu dans un fond de province, où trop souvent l'ennui doit tomber des plafonds?
Vous le calomniez, il n'est pas gris... voyez! il a l'air plutôt de chercher quelqu'un... En effet, Baptiste semblait fort préoccupé...
Général, répondis-je, il me semble que vous calomniez bien fort la génération présente. Tant s'en faut qu'elle soit aussi chaste que vous l'imaginez: elle est née en toute hâte, elle a le sentiment des grandes passions, elle n'en a pas la force. Il n'y a plus de Lauzun, il n'y a plus de Cambronne, il y a des rêveurs qui lisent les Méditations poétiques. C'est notre petite santé qui fait nos grandes vertus, mon général, mais, de grâce, ne le dites
Il vous manque l'innocence dans le désir: et c'est pourquoi vous calomniez le désir! En vérité, vous n'aimez pas la terre comme des créateurs, des générateurs, joyeux de créer! Où y a-t-il de l'innocence? L
Son interlocuteur, dont la stupeur allait croissant, essaya de se révolter: Vous vous calomniez!... Allons donc!... Ce n'est pas possible!... Elle jeta sur la table le petit flacon de cristal que nous avons aperçu naguère entre ses doigts: Voici, répliqua-t-elle froidement, voici le reste de la liqueur que j'ai mêlée
Vous vous calomniez, Claude. Le docteur vous a écrit? Pour me rappeler qu'elle m'attend jeudi, oui... Donc que mes vacances sont finies, bien finies!
Ma foi non, il y en a tant de méchants. Est-ce le vautour? est-ce le pigeon qui tue ses petits? Non; c'est le pinson. Le pinson, ce folâtre chanteur, si gracieux, si jovial? Allons donc! et pourquoi? On n'a jamais pu le savoir. Je comprends l'apologue. Seulement vous calomniez le pinson; et, en disant que vieillir, souffrir et mourir sont trois choses atroces, exécrables, je ne calomnie pas...
Vous êtes un misérable, monsieur de Rohan, vous êtes un menteur! Moi! Vous êtes un lâche, vous calomniez une femme. Moi! Vous êtes un traître; vous insultez la reine. Et vous, vous êtes une femme sans coeur, une reine sans foi. Malheureux! Vous m'avez amené par degrés
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