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Osez produire des témoins... hurle le capitaine. Les témoins? riposte Monsieur... c'est les pierres... c'est toutes les cochonneries dont vous ne cessez de couvrir ma propriété... c'est les vieux chapeaux... les vieilles pantoufles que j'y ramasse chaque jour, et que tout le monde reconnaît pour vous avoir appartenu... Vous mentez... C'est vous qui êtes une canaille... une crapule...

«Vous n'aurez pas peur pour moi, je vous en assure, lui dit son frère en souriant, car je ne me trouve aucune envie de vous rendre ce bon office; quoi! n'avez-vous pas assez d'esprit? Venez, venez, ma soeur, continua-t-il, et cessez de vous affliger

GRAIN-DE-MOUTARDE. Me voici. BOTTOM. Donnez-moi votre poing, monsieur Grain-de-Moutarde! Je vous prie, cessez vos compliments, monsieur Grain-de-Moutarde! GRAIN-DE-MOUTARDE. Que désirez-vous?

Cessez, Stépan Trophimovitch. Vous êtes terriblement verbeux. Vous n'avez pas dansé; vous êtes venu chez moi avec une cravate neuve, du linge frais, des gants; vous vous étiez pommadé et parfumé. Je vous assure que vous-même aviez grande envie de vous marier. Cela se lisait sur votre visage, et, croyez-le, ce n'était pas beau

Cessez de traiter l'écrivain comme un paria, renoncez

«La sensibilité qui gémit presque exclusivement pour les ennemis de la liberté m'est suspecte: «Cessez d'agiter sous mes yeux la robe sanglante du tyran, ou je croirai que vous voulez remettre Rome dans les fers

Ah! les Jésuites, les Jésuites!... Vous croyez les connaître, et vous ne vous doutez seulement pas de leurs œuvres abominables ni de leur incalculable puissance. Il n'y a qu'eux, eux partout, eux toujours. Dites-vous cela, dès que vous cessez de comprendre, si vous voulez comprendre. Quand il vous arrivera une peine, un désastre, quand vous souffrirez, quand vous pleurerez, pensez aussitôt: «Ce sont eux, ils sont l

L'abbé, cessez de gémir. Les Lettres persanes sont bien et dûment convaincues d'impiété. Partout Montesquieu est fidèle

Ma chère princesse Catherine, reprit le vieux prince avec une impatience marquée, je ne suis pas venu pour te blesser, mais pour causer avec toi de tes propres intérêts. Tu es une bonne et aimable parente, et je te répète pour la dixième fois que, si le testament et la lettre se trouvent parmi les papiers du comte, tes soeurs et toi vous cessez d'être les héritières. Si tu manques de confiance en moi, adresse-toi

Décadi Fructidor se leva avec dignité: Arrêtez, citoyen, et cessez d'outrager une population agricole et stupide! Ces innocents villageois sont incapables de faire le mouchoir