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«Mon amidit Madeleine d'un air craintif, «madame est la sœur de M. Armand de Bréville, ma bonne amie d'enfance.... » Je connais madamerépond Jacques d'un ton bref, «Elle vient... pour... pour... me chercher,... me ramener avec elle...

» Allons, belle amazone, chassez ces idées de guerre... Comment pouvez-vous croire que Bréville, qui sait tout ce que vous valez, puisse penser

J'étais chez Armand quand la personne qui lui a prêté cette somme y est venue: c'est un brave homme qui n'a pas la moindre défiance. Sachant que j'arrivais de Bréville, il m'a demandé des détails sur cette propriété en disant: M. le marquis semble avoir l'intention de vendre sa terre, et, s'il ne peut sans se gêner me rembourser mes trente mille francs, je pourrai m'arranger de sa propriété.

Le comte s'avance sous le vieil arbre; il considère long-temps le gazon que foulent ses pieds, le feuillage épais qui ombrage sa tête. Ses yeux se mouillent de larmes, et il s'assied au pied de l'arbre en murmurant: «Rien n'est changé en ce lieu... mais elle n'y est plus, j'y reviens seul. Pauvre Jenny!... c'est ici que je l'ai embrassée pour la dernière fois... Ah! combien elle a me maudire depuis!..... J'ai payé son amour du plus lâche abandon!... Alors je ne cherchais que le plaisir... je m'inquiétais peu des larmes que je ferais verser... et pourtant quand je sus qu'elle avait épousé le marquis de Bréville... la douleur, les regrets, qui déchirèrent mon cœur, m'apprirent que j'aimais Jenny autrement que toutes celles que j'avais trompées!... Mais il n'était plus temps... elle était

» Montclair a un habit parfaitement fait et qui va fort bienreprend le jeune de Bréville en regardant toujours dans le parc. « Oui, répond Saint-Elme; je lui ai procuré mon tailleur, auquel je donne souvent des idées pour les couleurs, les coupes qu'il faut changer...

Donc on causa, avec réserve d'abord, puis, comme elle se tenait fort bien, on s'abandonna davantage. Mmes de Bréville et Carré-Lamadon, qui avaient un grand savoir-vivre, se firent gracieuses avec délicatesse. La comtesse surtout montra cette condescendance aimable des très nobles dames qu'aucun contact ne peut salir, et fut charmante.

» Mais.... peut-être.... je ne dis pas non..... cependant, si on nous attend ce soir chez M. de Bréville?... On ne nous attend pas plus ce soir que demain!... Est-ce que tu n'entends pas la pluie?... veux-tu que nous allions nous casser le cou dans le bois?... et comment trouverions-nous notre chemin la nuit, puisque nous nous sommes perdus le jour?... Perdus... hum!... ce n'est pas nous qui nous sommes perdus... on nous a peut-être égarés avec intention...»

« Non, nous arrivons de Paris; nous allons chez M. de Bréville... le connaissez-vous? Oh! oui, messieurs... c'est-

L'arrivée de quelques personnes sert de prétexte aux habitans de Bréville pour quitter les bancs et se promener dans le jardin. Les folies des trois messieurs de Paris ennuient considérablement Ernestine et Emma.

Jacques embrasse la jeune fille sur le front, et la laisse près d'une petite porte qui ouvre sur les jardins de Bréville. Madeleine rentre et va du côté de la pièce d'eau. Elle songe