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» Je suis vraiment désolé, messieurs, de l'inquiétude que je vous cause;..... mais je... » Ah! mon Dieu! M. Armand se trouve maldit Emma. Le jeune de Bréville était étendu sur sa chaise, et sa tête penchée en arrière semblait privée de vie. Les dames et Victor l'entourent.

J'espère qu'il est ici, car il m'a invité, ainsi que mon ami, qui a passé devant. » Oui, monsieur, oui, M. de Bréville est ici... Vous allez trouver tout le monde dans la maison... Je crois qu'ils jouent au billard

Je rencontre dans un corridor Delaunay, que tout d'abord je ne reconnais pas, tant il s'est bien rajeuni par je ne sais quelle préparation magique, et tant il semble n'avoir que les dix-sept ans de Paul de Bréville.

» J'ai réfléchi, Jacques; je sens bien que j'ai tort,... que je ne dois pas conserver d'amour pour quelqu'un qui...... qui ne peut pas m'aimer. Aussi mon parti est pris: je veux quitter Bréville,... quitter madame de Noirmont... afin de ne plus voir M. Victor.

Le dîner réunit de nouveau toute la société. M. de Tergenne s'y montre aimable comme le matin: il est enchanté du séjour de Bréville; ce qui fait grand plaisir

» Que dites-vous, madame?.... Mon mari a vendu le domaine de Bréville

«Au revoir, Madeleine... Je ne quitterai pas Bréville de quelque temps;... je le crois, du moins... Mon seul bonheur, maintenant, sera de venir te voir... Si... par hasard, tu le voyais,... s'il venait ici, ah! surtout, ne lui dis pas que je suis venue pleurer près de toi!... que du moins il ignore tout le mal qu'il me fait!... Tu te tairas, n'est-ce pas? Oui, je vous le promets

Enfin, en faisant tromper ce bon, cet excellent, cet hospitalier M. Maréchal par le jeune Paul de Bréville, j'aurais introduit sur les planches un adultère plus immérité, plus indigne, plus infâme, plus laid que les adultères jusqu'ici mis en scène par mes confrères en adultère au théâtre... comme si nous ne voyions pas journellement les trois quarts des messieurs Maréchal se montrer de vrais saints Vincent de Paul

» A quelle époque, madamedit Pomard en levant les yeux d'un air étonné. A celle madame de Bréville a pris chez elle cette petite fille. Quelle petite fille?...

Madeleine, il semble que si je t'avais toujours eue près de moi, je n'aurais pas cédé au mauvais génie qui m'entraînait... Tu me rappelles madame de Bréville, celle qui fut ma seconde mère, qui m'aimait comme son fils... En t'écoutant, je crois l'entendre encore... Madeleine, je viendrai souvent te voir.... Je me trouve moins coupable près de toi!