Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 22 octobre 2025
Mon artifice est bien simple, répondis-je, et il n'est pas un Groënlandais auquel il ne soit familier. Aussitôt qu'ils ont pris un chien de mer, ils commencent par le souffler ainsi; de cette manière l'animal surnage au-dessus de l'eau, et ils le remorquent facilement avec leur caïak. On dit aussi que les bouchers se servent de ce procédé pour donner
Rarement l'étincelle fanatique tombait en vain sur ces grandes multitudes. Les autres métiers prenaient parti, moins nombreux, mais gens forts, mieux nourris, rouges, robustes et hardis, de rudes hommes, qui avaient foi dans la grosseur de leurs bras et la pesanteur de leurs mains, des forgerons qui, dans une révolte, continuaient de battre l'ennemi sur la cuirasse des chevaliers; des foulons, des boulangers, qui pétrissaient l'émeute comme le pain; des bouchers qui pratiquaient sans scrupule leur métier sur des hommes. Dans la boue de ces rues, dans la fumée, dans la foule serrée des grandes villes, dans ce triste et confus murmure, il y a, nous l'avons éprouvé, quelque chose qui porte
Dans quelques villes de province se retrouvent des boucheries dont l'aspect rappelle celles du moyen âge: en 1886 la rue des Bouchers,
Chez les bouchers, quand la vieille Annou demandait une carbonade, l'étalier lui riait au nez; il ne savait pas ce que c'était une «carbonade», ce sauvage!... Ah! je me suis bien ennuyé. Le dimanche, pour nous égayer un peu, nous allions nous promener en famille sur les quais du Rhône, avec des parapluies.
À Troyes, au XIVe siècle, les maîtres bouchers pouvaient être forcés, quelques jours après leur réception, de mettre un chapeau de verdure et de traîner, attelés deux
Au XVIIe siècle existait, chez certains bouchers de Londres, la coutume de cracher sur la première pièce d'argent qu'ils recevaient le matin.
Au XIIIe siècle, le lexicographe Jean de Garlande accusait les bouchers, au lieu de bonne viande, de débiter les chairs d'animaux morts de maladie; et on lit dans les Exempla de Jacques de Vitry les deux contes moralisés qui suivent: Un jour qu'un client, pour mieux se faire venir d'un boucher qui vendait de la viande cuite, lui disait: Il y a sept ans que je n'ai acheté de viandes
J'étais dans ce cas avant mon voyage: je m'imaginais que tout venait aux arbres; j'avais vu ceux du Luxembourg rapporter des marrons d'Inde, et je croyais qu'il y en avait d'autres dans des jardins faits exprès, qui rapportaient du blé, du raisin, des fruits et des légumes de toutes espèces: je pensais que les bouchers tenaient des manufactures de viande, et que celui qui faisait la meilleure était le plus fameux; que les rôtisseur fabriquaient la volaille et le gibier, comme les limonadiers fabriquent le chocolat; que la Seine fournissait la morue, le hareng saur, le maquereau et tout ce bon poisson qu'on vend
Le Moyen de parvenir donne le détail d'une sorte de cérémonial qui était en usage au XVIe siècle, et qui vraisemblablement tomba un peu plus tard en désuétude: Quand les bouchers font un examen
Le Parlement décida que les chefs de métiers devaient rentrer en prison. Parmi les chefs se trouvaient deux hommes aimés du peuple, le doyen des bouchers, et celui des tisserands. Celui-ci, Peter Koenig (Pierre le Roi), était un homme pauvre et de mauvaise mine, petit et borgne, mais un homme de tête, un rude harangueur de carrefour . Il entraîna les gens de métiers hors de Bruges, leur fit massacrer tous les Français dans les villes et châteaux voisins. Puis ils rentrèrent de nuit. Des chaînes étaient tendues pour empêcher les Français de courir la ville; chaque bourgeois s'était chargé de dérober au cavalier logé chez lui sa selle et sa bride. Le 21 mars 1302, tous les gens du peuple se mettent
Mot du Jour
D'autres à la Recherche