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Mis à jour: 3 juin 2025


Aussi Napoléon, en sortant de Borizof,

Le premier soin du maréchal fut de s'assurer de la route de Zembin, par un détachement qui en chassa quelques Cosaques; de pousser l'ennemi vers Borizof, et de le contenir le plus loin possible du passage de Studzianka.

Passage de la Bérésina. La délibération. Les aigles brûlées. Les Russes n'en ont que la cendre. L'empereur prête ses chevaux pour les atteler aux pièces d'artillerie. Les officiers simples canonniers. Les généraux Grouchy et Sébastiani. Grands cris près de Borizof. Le maréchal Victor. Les deux corps d'armée. La confusion. Voracité des soldats de l'armée de retraite. L'officier se dépouillant de son uniforme pour le donner

JUSQUE-LÀ tout allait bien. Mais Victor, en passant dans Borizof, y avait laissé Partouneaux et sa division. Ce général devait arrêter l'ennemi en arrière de cette ville, chasser devant lui les nombreux traîneurs qui s'y étaient abrités, et rejoindre Victor avant la fin du jour. Partouneaux voyait pour la première fois le désordre de la grande-armée. Il voulut, comme Davoust au commencement de la retraite, en cacher la trace aux yeux des Cosaques de Kutusof, qui le suivaient. Cette vaine tentative, les attaques de Platof par le grand chemin d'Orcha, et celles de Tchitchakof par le pont brûlé de Borizof, le retinrent dans cette ville jusqu'

Le 22, on marcha péniblement d'Orcha vers Borizof, sur un large chemin bordé d'un double rang de grands bouleaux dans une neige fondue et au travers d'une boue profonde et liquide. Les plus faibles s'y noyèrent: elle retint et livra aux Cosaques tous ceux des blessés qui, croyant la gelée établie pour toujours, avaient,

D'ailleurs sa correspondance du 20 novembre avec Victor prouve sa confiance: elle supposait qu'Oudinot serait près d'arriver le 25 dans Borizof, tandis que, dès le 21, cette ville devait tomber au pouvoir de Tchitchakof.

Ce même gouverneur s'était retiré sur Borizof. L

Le 27, il était si peu revenu de son erreur, qu'il fit reconnaître et attaquer Borizof par des chasseurs, qui passèrent sur les poutres du pont brûlé, et qui furent repoussés par les soldats de la division Partouneaux.

Ce fut dans ces premiers jours de marche vers Borizof, que le bruit de la prise de Minsk se répandit dans l'armée. Alors les chefs eux-mêmes portèrent autour d'eux des regards consternés: leur imagination, blessée par une si longue suite de spectacles affreux, entrevit un avenir plus sinistre encore.

CE succès encouragea Witgenstein. En même temps, deux jours de tâtonnemens, le rapport d'un prisonnier, et sur-tout la reprise de Borizof par Platof, avaient éclairé Tchitchakof. Dès lors, les trois armées russes, du nord, de l'est et du midi, se sentirent réunies; leurs chefs communiquèrent entre eux. Witgenstein et Tchitchakof étaient jaloux l'un de l'autre, mais ils nous détestaient encore plus; la haine fut leur lien et non l'amitié. Ces généraux se trouvèrent donc prêts

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