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Mis à jour: 7 juin 2025


Le lendemain son oncle lui parla ainsi après le déjeuner, en présence de mademoiselle de Kerkabon, qui était tout attendrie: Le ciel soit loué de ce que vous avez l'honneur, mon cher neveu, d'être chrétien et Bas-Breton! mais cela ne suffit pas; je suis un peu sur l'âge; mon frère n'a laissé qu'un petit coin de terre qui est très peu de chose; j'ai un bon prieuré; si vous voulez seulement vous faire sous-diacre, comme je l'espère, je vous résignerai mon prieuré, et vous vivrez fort

Le matelot Ivon, devenu second de la prise, ce gros Bas-Breton dont j'ai déj

La prise, équipée de douze de nos hommes, non compris le capitaine, un gros matelot bas-breton, qui devait servir de second, et moi, devenu la troisième personne du bord, se sépara du corsaire. Arnaudault, monté sur le dôme de la chambre, nous commanda, au porte-voix, de faire de la toile et de bien veiller autour de nous. Le corsaire reprit sa bordée sous ses basses-voiles. Notre nouveau capitaine, dont le nom de course était Bon-Bord, voulut demander au capitaine Arnaudault ses dernières instructions: Va-t-en te faire f....., et ne te soûle pas, ivrogne, lui répondit d'une voix de tonnerre le capitaine du Sans-Façon. Ce furent les dernières paroles que nous adressa cet intrépide marin, dont la voix retentissait encore sur les vagues qui allaient nous séparer de lui. Le Sans-Façon disparut bientôt

En voyant les soldats s'arrêter sur la place au lieu de continuer leur route, les paysans étaient successivement sortis de leurs maisons et s'étaient rapprochés. Ils formaient un cercle autour des gendarmes. L'un d'eux, qui connaissait le brigadier, s'approcha de lui. Bonjour, monsieur Christophe, lui dit-il. Bonjour, l'ancien, répondit le brigadier qui parlait assez bien le bas-breton.

Les deux jeunes gens, en effet, étaient arrivés devant la porte d'une sorte de grange située au milieu du village. Un paysan bas-breton tenait les rênes d'une belle bête des Pointes de la Coquille, achetée

Or, le soir même du jour M. Maurice Duval avait reçu une si aimable sérénade de ses administrés, les deux frères Mirliflor rentraient chez eux pour dîner. Est-il venu du monde, Damoiseau? demanda Ulysse au Bas-Breton qui leur servait de domestique. Non, monsieur... Bée! non. Le dîner est-il servi? Bée! bée!... oui, monsieur.

L'Ingénu, après s'être promené dans les jardins de Versailles, il s'ennuya, après avoir soupé en Huron et en Bas-Breton, s'était couché dans la douce espérance de voir le roi le lendemain, d'obtenir mademoiselle de Saint-Yves en mariage; d'avoir au moins une compagnie de cavalerie, et de faire cesser la persécution contre les huguenots. Il se berçait de ces flatteuses idées, quand la maréchaussée entra dans sa chambre. Elle se saisit d'abord de son fusil

Le premier consul revint aux poursuites qu'il avait arrêtées. Il se fit représenter la liste. Elle commençait par un nommé Querel. «Quel est cet hommedemanda-t-il. On lui répondit que c'était un Bas-Breton qui avait servi sous les ordres de George dans la Vendée. Arrivé

Les frères Mirliflor s'étaient réservé pour eux le rez-de-chaussée et les caves. Quant au Bas-Breton Damoiseau, Damoiseau! il couchait dans le couloir. Ulysse et Nestor montèrent au premier,

Douce fête que l'arrivée d'une prise! Triomphe pour les marins, joie pour les habitants du port, que les richesses conquises sur l'ennemi vont vivifier! Ivresse enfin pour tout le monde, ivresse surtout pour l'équipage du navire capturé! Les embarcations du stationnaire de Tréguier, les pataches de la Douane, environnent le brick. On embrasse Cavet sans le connaître. On lui offre un lit, un repas, des femmes même. sans savoir s'il a le sou en poche. La prise paiera toutes ses dépenses, ses profusions, ses folies. Arrivent du vin, des amis qu'il n'a jamais vus, des femmes dont il ne se soucie guère! Il est corsaire, corsaire heureux, et de plus, un des mieux bâtis des jolis garçons que l'on ait vus sous une chemise de molleton rouge! Qu'avec plaisir les jeunes filles promènent leurs regards animés sur ses traits hardis et son front expressif! Il entend et parle leur langage bas-breton. Il fait mieux encore, il comprend cet autre langage plus tendre qui ne se parle pas. Il finit par répandre l'or qu'on lui compte, entre des marins insouciants qui boivent avec lui, et des femmes qui l'enchaînent une heure ou deux au sein de ces orgies qui sont

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