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Mis à jour: 7 mai 2025
Il importe de ne rien laisser dans le vague, que ce qui demeure inexplicable. Le premier s'appelait Bartissol et était du Midi... Il seyait au second, qui était Bas-Breton, de se nommer Logarec. Entends, dit Bartissol! Voil
La naïveté du récit du capitaine Lebihan amusa beaucoup tous les auditeurs. Le Bas-Breton seul conservait son sérieux et sa plaisante gravité. On engagea le capitaine Niquelet, de Saint-Malo,
L'abbé de Saint-Yves, malgré ce petit avertissement, lui demanda laquelle des trois langues lui plaisait davantage, la hurone, l'anglaise, ou la française. La hurone, sans contredit, répondit l'Ingénu. Est-il possible? s'écria mademoiselle de Kerkabon; j'avais toujours cru que le français était la plus belle de toutes les langues après le bas-breton.
C'en était fait! Dès 1852 il est archiviste du département de l'Aube et, dans la solitude des faubourgs de Troyes, il entreprend la série des admirables travaux qui remplirent son existence. Ce qui l'intéresse surtout, c'est la recherche des véritables origines nationales de notre histoire. Et voyez son énergie et son opiniâtreté: Pour approfondir les mystères de nos premières destinées, il juge que la connaissance du breton d'Armorique lui donnerait des facilités; il l'apprend. Puis constatant que le bas-breton ne suffit pas et qu'il trouverait de nouvelles forces
Ceux qui ont le raisonnement le plus fort, et qui digèrent le mieux leurs pensées afin de les rendre claires et intelligibles, peuvent toujours le mieux persuader ce qu'ils proposent, encore qu'ils ne parlassent que bas-breton, et qu'ils n'eussent jamais appris de rhétorique; et ceux qui ont les inventions les plus agréables et qui les savent exprimer avec le plus d'ornement et de douceur, ne laisseroient pas d'être les meilleurs poëtes, encore que l'art poétique leur fût inconnu.
Ses aventures amoureuses l'avaient rendu célèbre dans les paroisses. A sa vue, les mères tremblaient, les maris pâlissaient, mais les jeunes filles et les jeunes femmes souriaient en faisant une gracieuse révérence au don Juan bas-breton, qui faisait le sujet de bien des causeries intimes au bord de la fontaine et le soir sous la saulaie.
En Haute-Bretagne, pour désigner un commérage, on dit qu'il a été entendu au «doué». Un proverbe bas-breton le constate aussi: Er fourniou-red, er milinou, E vez klevet ar c'heloiou; Er poullou hag er sanaillou E vez klevet ar marvaillou. Au four banal, au moulin, On entend les nouvelles; Au lavoir et dans les greniers, On entend les commérages.
Hélas! dit mademoiselle de Kerkabon, notre neveu aura fait quelque sottise, et se sera attiré de fâcheuses affaires. Il est jeune, il est Bas-Breton, il ne peut savoir comme on doit se comporter
Maharite y est pour le maître, rien que pour son maître; la joie soit avec lui! répondit, en bas-breton, une voix qui semblait monter des entrailles de la terre. Et l'on vit surgir d'un coin de la grotte un corps étrange, si courbé vers le sol qu'on eût dit qu'il marchait
La maison était tenue par un Bas-Breton pur sang, parfaitement idiot, de taille ordinaire, mais qui ne parlait jamais qu'en bêlant comme les moutons, et qui, lorsqu'on lui adressait la parole, répondait en fixant sur son interlocuteur un regard stupide. Dans le quartier, on disait que les frères Mirliflor étaient fort attachés au gouvernement.
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