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Mis à jour: 2 juin 2025
BAPTISTA. Apaisez-vous, messieurs, je concilierai cette dispute: ce sont les actions qui doivent gagner le prix; et celui des deux qui peut assurer
BIONDELLO. Oui, monsieur, pas le plus petit mot. LUCENTIO. Et pas un mot de Tranio dans ta bouche. Tranio est changé en Lucentio. BIONDELLO. Tant mieux pour lui; je voudrais bien l'être aussi, moi. TRANIO. Et moi, foi de valet, je voudrais bien, pour former le second souhait, que Lucentio eût la plus jeune fille de Baptista.
Padoue. Devant la maison de Baptista. Entrent TRANIO et HORTENSIO. TRANIO. Est-il possible, ami Licio, que la jeune Bianca en aime un autre que Lucentio? Je vous dis, moi, monsieur, qu'elle me donne les plus belles espérances. HORTENSIO. Monsieur, pour vous prouver la vérité de ce que j'avance, tenez-vous
BAPTISTA,
BAPTISTA. Oui, quand le point principal sera obtenu, c'est-
BAPTISTA. Vous êtes le bienvenu, monsieur; et lui aussi,
BIONDELLO. Non, monsieur: je dis que son cheval l'apporte sur son dos. BAPTISTA. Bah! c'est tout un. BIONDELLO. Non par saint Jacques: je vous gagerai un sou, qu'un homme et un cheval font plus qu'un, et cependant ne font pas deux. PETRUCHIO. Allons, où sont ces messieurs? qui est ici au logis? BAPTISTA. Vous êtes le bienvenu, monsieur. PETRUCHIO. Et cependant, je ne viens pas bien.
BAPTISTA. Vous ne boitez pourtant pas. TRANIO. Vous n'êtes pas aussi bien paré que je le souhaiterais. PETRUCHIO. Il valait bien mieux me hâter d'arriver. Mais où est Catherine? où est mon aimable fiancée? Comment se porte mon père?
PETRUCHIO. Mes amis, et vous messieurs, je vous remercie de vos peines et de votre complaisance: je sais que vous comptez dîner avec moi aujourd'hui, et que vous avez fait tous les apprêts d'un festin de noces; mais la vérité est que des affaires pressantes m'appellent loin d'ici, et que je me propose de prendre congé de vous. BAPTISTA. Est-il possible que vous vouliez partir ce soir?
BAPTISTA. A cette heure, pour parler sérieusement, mon gendre Petruchio, je crois que c'est vous qui avez la plus méchante femme de toutes. PETRUCHIO. Eh bien, moi, je dis que non; et pour preuve, que chacun de nous envoie quérir sa femme, et celui qui aura la femme la plus obéissante, celle qui se rendra la première
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