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TRANIO. Et le marié et la mariée reviennent-ils au logis? GREMIO. Le marié, dites-vous? oh! c'est un vrai palefrenier, et un palefrenier brutal; et la pauvre fille en saura quelque chose. TRANIO. Quoi! plus bourru qu'elle? Oh! cela est impossible. GREMIO. Bon! c'est un diable, un vrai diable, un démon. TRANIO. Eh bien! elle, c'est une diablesse, une diablesse, la femme du diable.

TRANIO. Maître, vous qui avez si longtemps considéré la jeune personne, vous n'avez peut-être pas remarqué le plus important de la chose? LUCENTIO. Oh! très-bien; j'ai vu la beauté dans ses traits, égale

BIONDELLO. Oui, monsieur, pas le plus petit mot. LUCENTIO. Et pas un mot de Tranio dans ta bouche. Tranio est changé en Lucentio. BIONDELLO. Tant mieux pour lui; je voudrais bien l'être aussi, moi. TRANIO. Et moi, foi de valet, je voudrais bien, pour former le second souhait, que Lucentio eût la plus jeune fille de Baptista.

TRANIO. Il y a la mort pour tout habitant de Mantoue qui vient

BAPTISTA. Vous ne boitez pourtant pas. TRANIO. Vous n'êtes pas aussi bien paré que je le souhaiterais. PETRUCHIO. Il valait bien mieux me hâter d'arriver. Mais est Catherine? est mon aimable fiancée? Comment se porte mon père?

TRANIO. Gremio, tout le monde sait que mon père n'a pas moins de trois vaisseaux

TRANIO. Qui est-ce, Biondello? BIONDELLO. Mon maître, c'est un marchand, ou un pédant, je ne sais lequel, mais grave dans son maintien: il a toute la démarche et la contenance d'un père. LUCENTIO. Et que ferons-nous de lui, Tranio?

TRANIO. Mais, monsieur, il est intéressant d'ajouter

LUCENTIO. Tranio, conduit par le violent désir que j'avais de voir la superbe Padoue, berceau des arts, me voici arrivé dans la fertile Lombardie, le riant jardin de la grande Italie; grâce

TRANIO. Sur ma foi, il va trouver