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Mis à jour: 10 juin 2025


En ces jours, la Russie avait vaincu Napoléon. Victoire sans combat! Autour de Moscou, les hostilités étaient suspendues; il y avait trêve convenue sur certains points, armistice tacite sur d'autres. Les avant-postes se rapprochaient et causaient: Murat, toujours empanaché, paradait tranquillement en face des Russes, et lorsqu'un Cosaque le visait sournoisement et s'apprêtait

Ainsi, quoi de plus juste, que de conclure un armistice? Y a-t-il un autre moyen de laisser aux puissances le tems de s'expliquer, et

D'un autre côté, les patriotes désiraient la rupture de cet armistice, qui empêchait les Français, leurs frères d'opinion, de marcher sur Naples.

D'un autre côté, l'Autriche avait pris une attitude pacifique en faisant faire un armistice pour le corps auxiliaire que commandait le feld-maréchal, prince de Schwarzenberg. Enfin, le 26 avril, elle avait déclaré

Le prince Jean de Lichtenstein est venu trouver l'empereur au château d'Austerlitz. L'empereur lui a accordé une conférence de plusieurs heures. On remarque que l'empereur cause volontiers avec cet officier général. Ce prince a conclu, avec le maréchal Berthier, un armistice de la teneur suivante: M. Talleyrand se rend

On remit aux commissaires copies des premières instructions, et on y ajouta celles que voici: Instructions pour Messieurs les Commissaires chargés de traiter d'un armistice. Paris, le 27 Juin 1815.

Armistice conclu entre LL. MM. II. de France et d'Autriche.

La bataille de Friedland fut suivie d'une marche rapide de notre armée. L'empereur gagna le village de Tilsit, sur les bords du Niémen. Le fleuve séparait les deux armées. Un armistice fut proposé par le général russe, et accepté par nous; les négociations commencèrent. Sur ces entrefaites, j'étais partie pour les eaux d'Aix-la-Chapelle, je menais une paisible vie, et j'attendais, comme toute l'Europe, la fin de cette terrible guerre. J'y trouvai pour préfet M. Alexandre de Lameth, qui, après avoir tant marqué dans les commencements de la Révolution, avait émigré, était rentré en France, ayant passé de longues années dans un cachot autrichien, en même temps que M. de la Fayette. Employé par l'empereur, il était arrivé

Dans son embarras, il convint d'un armistice avec les insurgés, puis s'adressa au Premier Consul, et sollicita vivement l'intervention de la France, que les insurgés demandaient aussi de leur côté, puisqu'ils voulaient que leurs relations avec le gouvernement central fussent réglées sous les auspices du ministre Verninac.

Elle lui fit écrire sur-le-champ une lettre supplémentaire, portant: Il est inutile de vous dire, M. le maréchal, que votre armistice doit être purement militaire, et qu'il ne doit contenir aucune question politique. Il serait convenable que cette demande d'armistice fût portée par un général de ligne et un maréchal de camp de la garde nationale.

Mot du Jour

l'égaierait

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