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Mis à jour: 10 juillet 2025
16 juin. Occupation de Koenigsberg par les Français. 19 juin. L'empereur Napoléon établit son quartier-général dans Tilsit, où, quelques jours auparavant, l'empereur de Russie et le roi de Prusse avaient établi le leur. 21 juin. Armistice conclu entre les deux empereurs et le roi de Prusse.
Armistice de Parsdorf, le 15 juillet 1800. Remarques critiques. § 1er.
La commission cependant, éclairée par des lettres particulières, conçut des soupçons sur la véracité des rapports du maréchal. Elle donna la mission au général Corbineau, de lui rendre compte de l'état de l'armée. Instruite de la vérité, elle ne craignit plus d'être forcée de recevoir humblement la loi du vainqueur; et voulant empêcher le maréchal Grouchy, dont les intentions avaient cessé d'être un mystère, de compromettre l'indépendance nationale par une transaction irréfléchie, elle lui fit défendre de négocier aucun armistice, d'entamer aucune négociation, et lui ordonna de ramener son armée
Cet armistice était trop dans notre intérêt pour ne pas être accepté; mais, comme nous étions en plein succès, il était naturel de demander des garanties. Le général Bonaparte exigea la remise entre ses mains de cinq places de guerre, qui serviraient de point d'appui
Le prince d'Orange et le feld-maréchal Mollendorf sont faits prisonniers. Même jour. Le roi de Prusse demande un armistice, qui est refusé par Napoléon. 17 octobre. Combat de Halle. Le prince Eugène de Wurtemberg, général de l'armée de réserve prussienne, a son corps d'année presque entièrement détruit. 18 octobre. Prise de Leipsick par le maréchal Davoust. 21 octobre.
Par le résultat du combat de Halle, il n'est plus de troupes ennemies qui n'aient été entamées. Le général prussien Blucher, avec cinq mille hommes, a traversé la division de dragons du général Klein, qui l'avait coupé. Ayant allégué au général Klein qu'il y avait un armistice de six semaines, ce général a eu la simplicité de le croire.
Une première demande d'armistice fut faite; Blucher y répondit <p.271> ainsi: «Nous voulons entrer dans Paris pour protéger les honnêtes gens contre le pillage dont ils sont menacés par la canaille. Un armistice satisfaisant ne peut être conclu que dans Paris!» Wellington se montra moins arrogant; et alors fut signée la triste convention du 3 juillet 1815, dont les principaux articles étaient: 2.
Cet armistice était singulier. Pour le rompre, il suffisait de se prévenir réciproquement trois heures d'avance. Il n'existait que pour le front des deux camps, et non pour leurs flancs. Ce fut ainsi du moins que les Russes l'interprétèrent. On ne pouvait amener un convoi, ni faire un fourrage sans combattre; de sorte que la guerre continuait par-tout, excepté où elle pouvait nous être favorable.
La mort de Brock fit passer le commandement des Anglais entre les mais du général Sheaffe, qui conclut une armistice avec le général Smith, successeur de Van Rensalaer, et qui parut vouloir montrer plus de zèle que son prédécesseur. Il invita les jeunes Américains
Le général Giulay venait, en conséquence, assurer des intentions pacifiques de son souverain, et proposer un armistice. L'empereur lui répondit qu'il ne demandait pas mieux que de faire la paix, mais qu'on pouvait traiter sans suspendre le cours des opérations. Il observa au général Giulay qu'il n'avait pas de pouvoirs de la part des Russes, qui, d'après cela, seraient en droit de ne pas reconnaître l'armistice; il l'invita
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