United States or Vietnam ? Vote for the TOP Country of the Week !


Très bien, par Aphroditè de Paphos! Et de fait, aujourd'hui, ils se jettent en armes

Si blonds, si soyeux en effet étaient ses cheveux, si attirante sa bouche, si fine la colonnette de son cou, si onduleuses, si pures les lignes de son corps, qu'on aurait pu, comme une Aphrodite triomphante, l'ériger sur quelque socle de marbre, l'offrir aux adorations des fidèles.

Il parla ainsi, et Aphroditè s'envola, pleine d'affliction et gémissant profondément. Iris aux pieds rapides la conduisit hors de la mêlée, accablée de douleurs, et son beau corps était devenu noir. Et elle rencontra l'impétueux Arès assis

Et, du côté des Troiens, se rangèrent Arès aux armes mouvantes, et Phoibos aux longs cheveux, et Artémis joyeuse de ses flèches, et Lètô, et Xanthos, et Aphroditè qui aime les sourires.

« Partons. Je n'emporte rien avec moi, que la petite Aphroditê qui est pendue

Issu de l'écume des mers comme Aphrodite Sois docile puisque tu es beau Naufragé Vois les sages te font des gestes socratiques Vous parlerez d'amour quand il aura mangé Maraudeur étranger malhabile et malade Ton père fut un sphinx et ta mère une nuit Qui charma de lueurs Zacinthe et les Cyclades As-tu feint d'avoir faim quand tu volas les fruits

Non, de par Zeus! car Aphroditè n'était rien pour toi. Et qu'il en soit toujours ainsi! Mais qu'elle règne sans cesse attachée

Mais comme elle avait des sens de diablesse, un corps d'idéale Aphrodite, qu'elle posait

Debout dans sa conque nacrée, Elle vogue sur le bleu clair. Comme une Aphrodite éthérée, Faite de l'écume de l'air; On voit onder en molles poses Son torse au contour incertain, Et l'aurore répand des roses Sur son épaule de satin. Ses blancheurs de marbre et de neige Se fondent amoureusement Comme, au clair-obscur du Corrége, Le corps d'Antiope dormant.

L'Océan s'entr'ouvrit, et dans sa nudité Radieuse, émergeant de l'écume embrasée, Dans le sang d'Ouranos fleurit Aphrodité. Jason et Médée À Gustave Moreau En un calme enchanté, sous l'ample frondaison De la forêt, berceau des antiques alarmes, Une aube merveilleuse avivait de ses larmes, Autour d'eux, une étrange et riche floraison.