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Et Phoibos Apollôn enveloppait d'une nuée ouranienne le lieu était couché le cadavre, de peur que la force de Hélios n'en desséchât les nerfs et les chairs.

Il parla ainsi en priant, et Phoibos Apollôn l'entendit; et, du sommet Olympien, il se précipita, irrité dans son coeur, portant l'arc sur ses épaules, avec le plein carquois. Et les flèches sonnaient sur le dos du dieu irrité,

Il parla ainsi en priant, et Phoibos Apollôn l'entendit et apaisa aussitôt sa douleur. Et le sang noir cessa de couler de sa blessure amère, et la force lui fut rendue. Glaukos connut dans son esprit que le grand dieu avait exaucé sa prière, et il se réjouit. Et d'abord, courant de tous côtés, il excita les chefs Lykiens

Et Phoibos Apollôn s'approcha de lui, semblable au jeune et brave guerrier Asios, fils de Dymas, frère de Hékabè et oncle du dompteur de chevaux Hektôr, et qui habitait la Phrygiè sur les bords du Sangarios. Et, semblable

Mais Phoibos Apollôn s'approcha de Hektôr et lui dit: Hektôr, ne sors point des rangs contre Akhilleus. Reste dans le tumulte de la mêlée, de peur qu'il te perce de la lance ou de l'épée, de loin ou de près. Il parla ainsi, et le Priamide rentra dans la foule des guerriers, plein de crainte, dès qu'il eut entendu la voix du dieu.

De même nul d'entre les Troiens n'osait attaquer l'illustre Ménélaos; et il eût aisément enlevé les belles armes du Panthoide, si Phoibos Apollôn, par envie, n'eût excité contre lui Hektôr semblable au rapide Arès.

Et Phoibos Apollôn dit au Pèléide: Pèléide aux pieds rapides, toi qui n'es qu'un mortel, pourquoi poursuis-tu un dieu immortel? Ne vois-tu pas que je suis un dieu? Mais ta fureur n'a point de fin. Ne songes-tu donc plus aux Troiens que tu poursuivais, et qui se sont enfermés dans leur ville, tandis que tu t'écartais de ce côté? Cependant tu ne me tueras point, car je ne suis pas mortel.

Et le royal archer Apollôn lui répondit: Prends courage! Du haut de l'Ida, le Kroniôn a envoyé pour te secourir Phoibos Apollôn

Ayant ainsi parlé, il poussa les chevaux du fouet, en entraînant les Troiens, et tous, avec des cris menaçants et une clameur immense, ils poussaient leurs chars en avant. Et Phoibos Apollôn jeta facilement du pied les bords du fossé dans le milieu, et, le comblant, le fit aussi large que l'espace parcouru par le trait que lance un guerrier vigoureux.

La pointe d'airain ne pénétra point et fut repoussée, et le triple airain du casque que Phoibos Apollôn avait donné au Priamide le garantit; mais il recula aussitôt, rentra dans la foule, et, tombant sur ses genoux, appuya contre terre sa main robuste, et la noire nuit couvrit ses yeux.