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Les récitatifs dont les deux strophes de ce morceau sont précédées et suivies ont une vérité d'accent et une élégance de formes très-rares; l'orchestre lointain, placé dans la coulisse et répétant en écho la fin de chaque phrase du poète éploré, en augmente encore le charme douloureux. Le premier air de l'Amour a une certaine grâce malicieuse comme celle que l'on prête au dieu de Paphos; le second contient beaucoup de formules de mauvais goût et qui ont en conséquence vieilli. L'air de bravoure a vieilli bien plus encore. Au reste, bâtons-nous de dire qu'il n'est pas de Gluck. Ce morceau, dont la présence dans la partition d'Orphée est inexplicable, est tiré d'un opéra de Tancrede, d'un maître italien nommé Bertoni. Nous en parlerons tout

O Déesse de Kypros, de Kythèra et de Paphos, suis, en droite ligne, la route que tu as commencée! est-il, cet inconnu? Près du temple de la Déesse Verdoyante. Oui, de par Zeus! Mais qui est-ce? Regardez. Quelqu'une de vous le reconnaît-elle? oui, de par Zeus! moi! C'est mon mari Kinésias.

Lesbos les Phrynés l'une l'autre s'attirent, jamais un soupir ne resta sans écho, A l'égal de Paphos les étoiles t'admirent, Et Vénus

courez-vous, Princesse? arrestez un moment. Le pirate est repris, & gardé seurement, Et s'il faut que mon fils meure de ses blessures, Il mourra le Barbare apres mille tortures, A ce discours je voy vostre teint se changer, Il court pourtant encore un plus pressant danger. Si Paphos qu'on assiege, est enfin emportée, La vie au prisonnier sera bientost ostée. Ny vous qui le sauviez, ny mon fils qui m'est cher, Ny nul autre icy bas ne pourroit l'empecher. Son mestier de voleur laisse un grand privilege, Aux Princes qui l'ont pris, & pourtant qu'il assiege, Et l'on peut bien punir un Corsaire, ô Cieux! Sans attirer sur soy la cholere des Dieux; Mais par mon fils sauvé, par Paphos délivrée, Sa mort est seulement pour un temps differée, Si ne s'opposant plus au bonheur d'un Rival, Il ne consent sans feinte

Quand les illustres navigateurs Cook et Bougainville, pénétrant les premiers dans l'océan Pacifique, virent s'élever de son sein embaumé toutes ces îles inconnues, toutes couvertes, des bords riants de la mer aux cimes bleues des montagnes, de verdure, de fruits et de fleurs, leur imagination leur rappela de suite les plus charmants souvenirs du paganisme antique, Idalie, Paphos et Cythère. Plus tard, l'âme plus austère des graves missionnaires chrétiens, en voyant ces heureuses peuplades parées plutôt que vêtues de branches de figuier, faire voler en chantant sur ces îlots toujours calmes leurs doubles canots aux voiles de jonc, tout banderolés de fleurs et de plumes brillantes, se laissa aussi charmer, et se souvint du paradis terrestre. Chanter et danser semblaient

Très bien, par Aphroditè de Paphos! Et de fait, aujourd'hui, ils se jettent en armes

L'entrée n'était pas tournée vers l'Orient, mais dans la direction de Paphos, c'est-

Mais, dirai-je, malgré tous nos transports et tous Nos serments mutuels, solennels, et jaloux D'être éternels, un dieu malicieux préside Aux autels de Paphos

66. Quand Paphos tomba, détruite par le tems, tems maudit! la reine qui soumet tout

Je te suis; n'espere pas pourtant, Qu'en me tirant des fers de ton injuste Pere, J'en sois moins ton Rival, ton cruel adversaire. Tant qu'Elise vivra sous vos indignes loix; Que vous luy ravirez la liberté du choix, Orosmane & les siens periront pour Elise. Paphos suivra de pres Amatonte surprise. Et ne me blasme plus de mes hostilitez, On manque pour Elise