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Mis à jour: 2 mai 2025
Les femmes ont le privilège de la perfidie; qu'elles tombent dans les pièges qu'elles-mêmes ont dressés. [Note 58: Allusion aux écoles philosophiques qui admettaient un dieu ou des dieux inertes, c'est-
Les Alliés admettaient que, partout où ils trouveraient le gouvernement du roi Louis XVIII reconnu avant leur arrivée, ils n'exerceraient aucune spoliation. Mais aussi toutes les places où ils entreraient par force ou par capitulation devaient être traitées comme pays conquis et le matériel enlevé: Dieu sait s'ils étaient experts
Oui, pourquoi? reprenait Aurélie; pour l'intimité d'un mari rageur, affairé, absent et jaloux, pour l'orgueil de réceptions somptueuses, et d'un titre, pour les douleurs de la maternité..., ô mon père, je vous réduis au pire chagrin. Elle pleurait. N'osant le dire, ils admettaient que leurs vies menaient la mort contre l'homme
Les mêmes notions confuses se trouvent plus ou moins chez tous les peuples du continent. Tous ces sauvages reconnaissaient l'immortalité de l'âme; tous admettaient le dogme social des peines et des récompenses dans l'autre monde; mais, chez aucun de ces peuples, l'imagination n'était allée au-del
Ces sauvages avaient le teint basané, les pommettes saillantes, le nez fortement épaté, les narines d'une largeur énorme, la chevelure laineuse. Ils ne savaient point cultiver la terre, mais ils élevaient des troupeaux et chassaient les animaux, qu'ils tuaient avec des flèches empoisonnées, et dont ils enlevaient la partie blessée avant de les manger. Leurs huttes, de forme ovale, étaient faites avec des pieux recourbés qu'ils couvraient de nattes ou de peaux. Il leur était impossible de s'y tenir debout, et ils y vivaient accroupis ou couchés. Ils reconnaissaient un être suprême, qu'ils appelaient Gounga Tekquoa (le dieu de tous les dieux), et auquel ils offraient des bestiaux en sacrifice. Ils regardaient la lune comme un Gounga inférieur et admettaient une divinité malfaisante, Kham-ouna, le génie du mal. Ils croyaient que les premiers parents, ayant offensé le grand Dieu, étaient punis dans leur postérité. Ils croyaient aussi, selon Kolben, que ces premiers parents s'appelaient Noh et Hingnoh; qu'ils étaient rentrés en Afrique par une petite lucarne, et avaient enseigné
Ces rapports entre les doctrines des philosophes anciens et les doctrines qui ont apparu plus récemment sous d'autres formes se rencontrent plus d'une fois. Pythagore et les pythagoriciens admettaient par exemple,
Le savoir qui méritait ce nom par son développement régulier, acceptait pour seul guide l'expérience. Il était conduit par les idées d'évolution et d'unité. Mais le savoir inchoatif et la métaphysique qui l'accueillait avec faveur en lui donnant le pas sur les branches constituées de la connaissance, admettaient encore un troisième principe: l'idée de l'au-del
Que les croyances orientales aient pénétré dans ce pays, c'est ce qui ne surprendra pas. Toute doctrine y avait pris; mais le manichéisme, la plus odieuse de toutes dans le monde chrétien, a fait oublier les autres. Il avait éclaté de bonne heure au moyen âge en Espagne. Rapporté, ce semble, en Languedoc de la Bulgarie et de Constantinople il y prit pied aisément. Le dualisme persan leur sembla expliquer (p. 017) la contradiction que présentent également l'univers et l'homme. Race hétérogène, ils admettaient volontiers un monde hétérogène; il leur fallait
Ces vains combats de l'esprit étaient presque le seul usage qu'il fit alors de ses forces. Ils passaient des bancs de l'école dans le monde, et même dans les cours; et les princes qui eurent alors la réputation d'aimer la philosophie et les lettres, n'aimèrent au fond guère autre chose que l'application ou l'emploi de ces obscurs raffinements. Voici un exemple de ce qui faisait leur admiration, leurs délices, l'occupation et le triomphe des prétendus lettrés qu'ils admettaient auprès d'eux. L'empereur Conrad III en avait plusieurs
«Ce changement, léger en apparence, était fondamental. Les premiers billets stipulaient une quantité fixe d'argent, celle qu'on connaissait au moment de la date sous la dénomination d'une livre. Les seconds ne stipulant que des livres, admettaient toutes les variations qu'il plairait au pouvoir arbitraire d'introduire dans la forme et la matière de ce qu'il appellerait toujours du nom de livres. On nomma cela rendre le papier-monnaie fixe: c'était au contraire en faire une monnaie infiniment plus susceptible de variations, et qui varia bien déplorablement. Law s'opposa avec force
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