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Mis à jour: 13 mai 2025
La blessure de sa tete rendit un elancement si violent, que le coeur lui manqua. Il crut voir une main qui saisissait la chevelure laineuse du negre et qui le rejetait en arriere. En meme temps un mouchoir se noua sur ses yeux et un baillon comprima sa bouche. C'etait un luxe de precautions. On le prit par les jambes et par les epaules pour le placer sur une sorte de civiere.
Sa plus haute stature est de quatre pieds et demi; sa chevelure est laineuse, et comme il n'a pas soin de s'en débarrasser, et qu'il ne saurait comment s'y prendre, elle forme autour de sa tête une couronne qui lui donne un aspect tout
Mieux dessinée et mieux modelée, la Femme cardant de la laine est laineuse de la tête aux pieds. La monotonie du faire recouvre maintenant, comme d'une couche d'ennui, toutes les toiles de M. Millet. L'âme est aussi absente que dans le tableau précédent. Il n'y a pas même de mélancolie dans l'apathie de cette femme ovine.
Ces sauvages avaient le teint basané, les pommettes saillantes, le nez fortement épaté, les narines d'une largeur énorme, la chevelure laineuse. Ils ne savaient point cultiver la terre, mais ils élevaient des troupeaux et chassaient les animaux, qu'ils tuaient avec des flèches empoisonnées, et dont ils enlevaient la partie blessée avant de les manger. Leurs huttes, de forme ovale, étaient faites avec des pieux recourbés qu'ils couvraient de nattes ou de peaux. Il leur était impossible de s'y tenir debout, et ils y vivaient accroupis ou couchés. Ils reconnaissaient un être suprême, qu'ils appelaient Gounga Tekquoa (le dieu de tous les dieux), et auquel ils offraient des bestiaux en sacrifice. Ils regardaient la lune comme un Gounga inférieur et admettaient une divinité malfaisante, Kham-ouna, le génie du mal. Ils croyaient que les premiers parents, ayant offensé le grand Dieu, étaient punis dans leur postérité. Ils croyaient aussi, selon Kolben, que ces premiers parents s'appelaient Noh et Hingnoh; qu'ils étaient rentrés en Afrique par une petite lucarne, et avaient enseigné
Hélas! quelle déception! Je trouvai une matière laineuse, des couvertures ou du drap tellement comprimé, qu'il offrait
Quelques Mégachiles exotiques ont d'autres habitudes. La Mégachile laineuse (M. lanata), espèce fort commune dans l'Inde, épargne sa peine en tirant parti des bambous coupés dont le diamètre intérieur lui paraît convenable, et elle y empile de longues rangées de cellules. Mais, loin de les faire, comme ses congénères, avec des feuilles, elle les bâtit avec de la terre mêlée de sable, le tout agglutiné avec de la salive. Fort accommodante d'ailleurs, cette Mégachile s'empare, pour y bâtir, de toutes les cavités, de tous les espaces, quelle qu'en soit la forme, pourvu qu'ils ne soient ni trop grands ni trop petits pour recevoir ses cylindres terreux. Ch. Horne donne la liste des différentes situations où il a rencontré ses nids. Elle est assez longue et assez curieuse pour mériter d'être reproduite: 1º dans des plis de papier; 2º dans le dos d'un livre laissé ouvert; 3º dans l'anse d'une tasse
A la lueur tremblotante des lanternes, les coiffures énormes et légères, les bonnets de tulle et de mousseline, les jupes de serge claire, les cercles dorés des oreilles et les colliers de rassade, au-dessus et parmi cette armée immense de têtes crépues et de corps bronzés, flottaient comme des papillons de nuit, des insectes brillants, des libellules et des fleurs d'eau sur un sombre marécage. La fange humaine augmentait toujours; derrière elle, les hautes montagnes semblaient la vomir avec sérénité; elle exhalait une odeur lourde et laineuse, de fourrure chaude, de linge humide, de peau en sueur et d'haleines corrompues, elle répandait une rumeur confuse, sorte de lamentation courte, de refrain sans cesse repris, que brisaient parfois un zézaiement de créole ou des cris gutturaux d'Africains. Tout
Une barbe blanche, laineuse et courte, encadrait sa face noire sillonnée de profondes rides, et au turban crasseux entourait sa tête sexagénaire; aussi peu vêtu que la fillette, il n'avait qu'un burnous dont l'usage demi-centenaire avait fait une sorte de dentelle, et qui ne voilait que de temps
Ah! ces nobles langueurs que jamais rien n'exprime, Ces silences, comblés de promesses sublimes, Le soir, cette fumée aux toits bleus des hameaux, Ces rêves des bergers, jouant du chalumeau Tandis que les brebis, dans la vallée herbeuse, Ont le robuste éclat d'une plante laineuse, Ces bonheurs du matin juvénile, où le corps Rejoint l'éternité en dépassant la mort, Ces besoins éperdus de pitié ou de rage, Ces soleils, embrasant de muets paysages, Tu les posséderas comme un raisin qu'on mord, Dans le bonheur gisant qui ressemble
Polyphème, fatigué, ne fit nul effort pour le retenir et il allait se mettre au lit lorsque la tête laineuse de Sagababa apparut dans ta porte entrebâillée... Qu'y a-t-il, Sagababa? demanda nonchalamment Polyphème, tout en commençant
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