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Mis à jour: 6 mai 2025
Philippe laissa croire au pape qu'il allait lui remettre les prisonniers entre les mains; il se chargeait seulement de garder les biens pour les appliquer au service de la Terre sainte (25 décembre 1307). Son but était d'obtenir que le pape rendît aux évêques et aux inquisiteurs leurs pouvoirs qu'il avait suspendus. Il lui envoya soixante-douze Templiers
Les prises de corps silencieuses, dont la Sainte-Voehme en Allemagne avait fort usé, étaient admises par la coutume germanique qui régit une moitié des vieilles lois anglaises, et recommandées, en certain cas, par la coutume normande qui régit l'autre moitié. Le maître de police du palais de Justinien s'appelait «le silentiaire impérial», silentiarius imperialis. Les magistrats anglais qui pratiquaient cette sorte de prise de corps, s'appuyaient sur de nombreux textes normands: Canes latrant, sergentes silent. Sergenter agere, ici est tacere. Ils citaient Lundulphus Sagax, paragraphe 16: Facit imperator silentium. Ils citaient la charte du roi Philippe, de 1307: Multos tenebimus bastonerios qui, obmutescentes, sergentare valeant. Ils citaient les statuts de Henri Ier d'Angleterre, chapitre LIII: Surge signa jussus. Taciturnior esto. Hoc est esse in captione regis. Ils se prévalaient spécialement de cette prescription considérée comme faisant partie des antiques franchises féodales de l'Angleterre: «Sous les viscomtes sont les serjans de l'espée, lesquels doivent justicier vertueusement
VIII, p. 178, cf. [Note 1307: Lettre
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