D'après cela j'allai aussitôt, avec un de mes deux conducteurs, au marché qu'on appelle bathsar (bazar). J'y achetai deux longues robes blanches qui me descenoient jusqu'au talon, une toque accomplie (turban complet), une ceinture de toile, une braie (caleçon) de futaine pour y mettre le bas de ma robe, deux petits sacs ou besaces, l'un pour mon usage, l'autre pour suspendre