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Mis à jour: 17 juin 2025
»Vous avancez, de plus, «que ce caractère dominant de l'ensemble de la poésie anglaise actuelle, est le dégoût et le mépris de la vie.» Mais je soupçonne plutôt que, par un seul ouvrage en prose, vous, oui, vous-même, avez excité un plus grand mépris pour la vie que tous les volumes anglais de poésie qui aient été jamais écrits. Mme de Staël dit «que Werther a occasioné plus de suicides que la plus belle femme», et je crois réellement qu'il a mis plus d'individus hors de ce monde que Napoléon lui-même, excepté dans l'exercice de sa profession. Peut-être, illustre baron, le jugement acrimonieux porté par un célèbre journal du Nord sur vous en particulier, et sur les Allemands en général, vous a autant indisposé contre la poésie que contre la critique de l'Angleterre. Mais vous ne devez pas avoir égard
Mais, du reste, Werther n'est qu'un Saint-Preux allemand et bourgeois, amoureux d'une Julie
René, dit-on, a plusieurs frères dans le monde des créations littéraires: Werther est son aîné, Obermann et Adolphe ses cadets. Ils sont tous, je le crois, de la même famille; Obermann et René sont seuls de la même branche.
Or, le critique qui, après Manon Lescaut, Paul et Virginie, Don Quichotte, les Liaisons dangereuses, Werther, les Affinités électives, Clarisse Harlowe,
Partout, dans ses romans, dans ses poésies, dans ses lettres, dans ses entretiens, dans le cycle entier de son œuvre, des premières pages de Werther
Premières amours. Werther. Marie-Joséphine-Louise, MADAME, m'attache
opinion du Grand Dictionnaire universel du XIXe siècle [Larousse]: "(...) Tel est le fond de ce drame intime, dont la couleur sombre est tempérée par une noble et féminine délicatesse, une faiblesse gracieuse et pleine de charme. Claire d'Albe est une soeur de Werther par les sentiments, et, malgré le but moral de l'auteur, il a peint avec tant de vivacité sa passion coupable qu'il y a presque du danger
Et Gœthe d'ajouter: «Le malheureux Werther se sentit accablé de toute la force de ces mots; il se renversa devant Charlotte, dans le dernier désespoir.
« Votre observation, dit Goethe, ne manque pas de justesse. Est-ce ce passage ou un autre dont Napoléon m'a parlé, je préfère ne pas le dire. Mais, je vous le répète, votre remarque est aussi juste que la sienne .» Napoléon aurait blâmé Goethe d'avoir montré Werther conduit au suicide, non pas seulement par sa passion malheureuse pour Charlotte, mais aussi par les chagrins de l'ambition froissée.
Et avec tout cela cette figure falote de des Esseintes reste intéressante. Serait-elle plus vraie et plus générale que je ne l'avais cru? Après tout, des Esseintes, c'est peut-être en effet Werther éreinté, fourbu, névrosé, avec une maladie d'estomac et quatre-vingts années de littérature en plus. Et il y a dans son cas, quoique poussé jusqu'
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