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Mis à jour: 22 juin 2025


Nous en avons eu des quantités. Je ne saurais passer sous silence le cas d'un Belge nommé Edouard Werner. Werner était un homme de 25 ou 26 ans, doué d'un physique très remarquable: il était très grand et très fort. Avant la guerre, il habitait Anvers il était

Mais son air contraint et ses captieux efforts pour pénétrer ce qu'avait pu me dire M. Werner, me prouvèrent que sa conscience n'était point en repos, et je sentis renaître et s'accroître mes justes préventions . Le tems que je passai près de lui fut employé en questions et dissertations oiseuses sur les probabilités de la paix et de la guerre. Il serait inutile et fastidieux de les raconter ici.

M. Werner avait été exact au rendez-vous; je m'empressai de me rendre chez lui. «Je craignais, me dit-il obligeamment, qu'on ne vous eût refusé l'entrée de Bâle; j'en ai parlé aux autorités; et si vous le désirez, je vous ferai délivrer la carte nécessaire pour que vous puissiez entrer en Suisse, en sortir et y résider sans obstacles et sans danger

Ces déclarations donnaient un grand poids aux propositions de M. Werner. L'Empereur les crut sincères; et dans un de ces momens d'effusion qu'il n'était point toujours maître de réprimer, il dit,

La fiction teutonique, en général, est un peu lourde et très sentimentale, mais Son Fils, de Werner, excellemment traduit par Miss Tyrrell, est vraiment un récit hors ligne. On en ferait une pièce de premier ordre. Le vieux comte Steinrück a deux petits-fils, Raoul et Michel.

Tous deux revinrent ensemble chez Hoffmann, l'un riant, dansant, chantant; l'autre rêveur, presque sombre. Celui qui riait, dansait, chantait, c'était Werner; celui qui était rêveur et presque sombre, c'était Hoffmann. Tous deux, au reste, décidèrent de partir le lendemain soir pour la France. Ils se séparèrent en s'embrassant. Hoffmann, resté seul, compta son or.

Encore une question: qu'as-tu fait? WERNER, avec violence. Omis de faire une chose qui eût tout sauvé. Ne m'y fais plus penser! viens. JOS

Werner! s'écria Hoffmann en s'élançant vers le jeune homme, Werner! Tiens, c'est toi, fit le poète, étais-tu donc? L

C'est égal, lui cria une dernière fois Zacharias Werner, tu verras qu'il n'y a pas de femme, si jolie qu'elle soit, qui puisse te faire oublier Paris. Hoffmann entendit les paroles de son ami, mais il ne jugea pas même

ULRIC, interdit regarde attentivement Werner, puis,

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