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Mis à jour: 3 juin 2025


Wagner ajoute que, d'après ses calculs, «le premier acte ne doit pas durer beaucoup plus d'une heure, le second une heure un quart, le dernier un peu au del

Une seule torture ne peut être épargnée aux vers que l'on met en musique, celle des «répétitions». Je ne les aime pas beaucoup pour ma part et les évite autant que je le puis; mais il est impossible de les éviter complètement: Richard Wagner lui-même n'y est pas parvenu.

D'ailleurs, qui ne se souvient de ses articles de critique musicale que sa fille Judith Gautier, de l'Académie Goncourt, vient de réunir en volume, avec un soin pieux et qui sont d'une rare et étonnante justesse d'appréciation! Leconte de Lisle était un fervent de Wagner et Alphonse Daudet, dont j'aurai l'occasion de parler, avait l'âme musicale la plus tendre.

Dans le programme de Balakirev, figurait entre autres l'introduction de Rousslan, le chœur du Prophète, l'ouverture du Faust de Wagner (la seule pièce de cet auteur appréciée dans notre groupe), l'ouverture tchèque de Balakirev, ma fantaisie serbe et enfin mon Sadko. Sadko passa avec succès; l'orchestration satisfit tout le monde et je fus rappelé

L'école de Weimar a produit une philosophie musicale qui remplace l'inspiration mélodique par la longueur des récits, les accents déclamés par des cris, le sentiment tonal par des harmonies souvent incohérentes; Liszt a été sinon l'inventeur, au moins le protecteur et en quelque sorte le metteur en scène de Wagner. C'est grâce

On est très ému dans notre monde musical du scandale que va produire la représentation du Tannhäuser; je ne vois que des gens furieux; le ministre est sorti l'autre jour de la répétition dans un état de colère!... L'empereur n'est pas content; et pourtant il y a quelques enthousiastes de bonne foi, même parmi les Français. Wagner est évidemment fou. Il mourra comme Jullien est mort l'an dernier, d'un transport au cerveau. Liszt n'est pas venu, il ne sera pas

Et ces musiciens ? dis-je, en montrant des partitions de Weber, de Rossini, de Mozart, de Beethoven, d'Haydn, de Meyerbeer, d'Herold, de Wagner, d'Auber, de Gounod, et nombre d'autres, éparses sur un pianoorgue de grand modèle qui occupait un des panneaux du salon.

Le dimanche 1er août, nous étions, Hartmann et moi, allés entendre Parsifal, au Théâtre Wagner,

Ce jeune souverain allemand, ce névrosé mystique, ce passionné des drames religioso-guerriers de Wagner, cet endosseur en rêve de la blanche armure de Parsifal, avec ses nuits sans sommeil, son activité maladive, la fièvre de son cerveau, m'apparaît comme un souverain bien inquiétant dans l'avenir. Lundi 24 mars.

En un mot Beethoven, Gluck et «lui». On doit toutefois y ajouter les ouvertures du Tireur magique et d'Oberon de Weber. Il va sans dire que Mendelssohnn, Schubert et Schumann étaient exclus, et plus encore Liszt et Wagner.

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