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Je ne puis vous dire, Madame, la douleur je suis de vous avoir quittée. J'ai le cœur si gros et si serré, que j'ai cru étouffer; la crainte de vous trop attendrir, m'a fait me contraindre, en me séparant de vous; j'ai fait ce que j'ai pu, pour que vous ne vissiez pas couler mes larmes; mais j'en ai gagné un mal de tête affreux. Si je n'avois pas la certitude de vous revoir, je ne sais pas, en vérité, de quoi je serois capable: les réflexions morales m'accablent. La vie me paroît si courte, pour essuyer de si grandes peines, que je ne veux plus faire de connoissances, dans la crainte de m'exposer

J'ai dans l'esprit, répondit Parquet d'un ton doux et paternel, que vous avez écouté un peu trop votre bon coeur durant cette dernière absence de M. le comte. Je vous l'ai dit, Jeanne Féline est un ange de vertu; je ne vous souhaiterais pas de plus haute noblesse que d'être sa fille. Simon est un digne jeune homme qui mériterait de Dieu la faveur d'avoir une soeur telle que vous; mais votre père qui n'entend rien aux relations de sentiments, si belles et si saintes qu'elles soient, blâmera certainement votre intimité avec cette famille de paysans. Il n'eût pas approuvé que vous vissiez madame Féline sur le pied d'égalité, comme vous le faites;

Cette reine de Congo, bien qu'elle vienne de quitter la pension, doit avoir environ vingt-deux ou vingt-trois ans. Je voudrais que vissiez son orthographe. Mistress la colonelle Haggistoun écrit ordinairement ses lettres, mais sa tendresse pour mes soeurs l'a emportée trop loin; elle s'est risquée

«Oui, monsieur Murdstone, continua-t-elle en secouant le doigt, vous vous êtes fait le tyran de cette innocente enfant, et vous lui avez brisé le coeur. Elle avait l'âme tendre, je le sais, je le savais bien des années avant que vous la vissiez, et vous avez bien choisi son faible pour lui porter les coups dont elle est morte. Voil

Miss Betsy, persistant dans une surdité inébranlable, reprit son discours: «Il était clair, comme je vous l'ai dit, bien des années avant que vous la vissiez (et il est au-dessus de la raison humaine de comprendre pourquoi il est entré dans les vues mystérieuses de la Providence que vous la vissiez jamais), il était clair que cette pauvre petite créature se remarierait un jour ou l'autre, mais j'espérais que cela ne tournerait pas aussi mal; c'était

Celui de vous voir entrer dans les ordres, mon cher fils, reprit le père d'Aigrigny, puisque cette pieuse et parfaite créature espérait qu'en faisant votre salut vous assuriez le sien... mais elle n'osait vous avouer sa pensée, craignant que vous ne vissiez un désir intéressé dans...

Un mot encore, dit Rodin en l'interrompant; je dois, je veux jouer cartes sur table et vous dire pourquoi j'insiste sur la préférence que je vous prie d'appuyer. Je serais désolé que vous vissiez dans tout ceci l'ombre d'une intrigue. Il s'agit simplement d'une bonne action. Le curé de Roiville, pour qui je réclame votre appui, est un homme auquel M. l'abbé d'Aigrigny s'intéresse particulièrement. Quoique très pauvre, il soutient sa vieille mère. S'il était chargé du salut de Mme de la Sainte- Colombe, il y travaillerait plus efficacement que tout autre; car il est plein d'onction et de patience... et puis, il est évident que par cette digne dame il y aurait quelques petites douceurs dont sa vieille mère profiterait... Voil

Il est vray que m'estant survenu sur la closture de la dépesche une petite lettre de la Royne d'Escoce, j'en avois miz une coppie dedans affin que vous vissiez l'estat se retrouvoit la dicte dame, laquelle coppie je vous envoye de rechef et dellibère la faire veoir

«Je vous ai glissé ma part quelquefois, monsieur, sans que ni vous ni les autres y vissiez rien... même quand c'était de ces mokas de chez Julien que j'aimais tant, et que je vous sacrifiais... Bref, j'ai eu de vos nouvelles toujours; et mon frère m'a plus d'une fois volée

«Ci-joint vous trouverez un bon pour l'intérêt usuraire au protégé de lord *; je voudrais que vous vissiez aussi pour moi sa seigneurie. Quoique la transaction montre d'elle-même la folie de l'emprunteur et la friponnerie du prêteur, je n'ai jamais eu l'intention de nier la dette, comme je l'aurais pu légalement, ni de refuser le paiement du principal, pas même peut-être des intérêts tout illégaux qu'ils soient. Vous savez qu'elle était ma position, ce qu'elle est encore. Je me suis défait d'un domaine qui était dans ma famille depuis près de trois cents ans, et n'avait jamais, pendant tout ce tems, eu la honte de tomber aux mains d'un homme de loi, d'un homme d'église, ou d'une femme. Je me suis décidé