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Mis à jour: 11 juin 2025
Aux portraits des agents mis en cause, nous joignons la reproduction de quelques documents assez curieux: ce sont des photographies exécutées par M. Gaud, pendant son séjour au Congo. Deux d'entre elles représentent: 1° les noirs payant,
« Je suis du Congo, lui répondis-je. « Et où est le Congo?»
Les porteurs de rentes belges, bons du trésor belge, Congo belge, villes de Bruxelles, Gand, Anvers, etc.. auront des renseignem. les intéressant certainement au Comptoir général de Bourse. 40, boulevard de la Liberté, 40, Lille.
Ça n'est pas pour dire, mais le congo est autre chose que la bourrée d'Auvergne, quoique celle-ci ne soit pas laide, quand elle est bien dansée.
Il lui arriva, par exemple, d'importer des éventails japonais au Spitzberg et des bassinoires au Congo. Dégoûté du commerce, il partit au Canada dans le but de faire de la haute banque. De mauvais jours luirent pour lui, et il se vit contraint, afin de gagner sa vie, d'embrasser la profession de scaphandrier.
Et en 1894, enfin, il termina la longue série de ses sauvetages il nous pardonnera bien lui-même d'en soutire un peu, tant c'est imprévu en repêchant d'un seul coup douze nègres du Congo. A côté de ce roi des sauveteurs, l'Académie en a primé nombre d'autres qui se sont jetés
Thélis était femme de l'émir Sambuco, dont les ancêtres avaient régné dans la Guinée. Sambuco s'était acquis de la considération dans le Congo par cinq ou six victoires célèbres qu'il avait remportées sur les ennemis d'Erguebzed. Non moins habile négociateur que grand capitaine, il avait été chargé des ambassades les plus distinguées et s'en était tiré supérieurement. Il vit Thélis au retour de Loango et il en fut épris. Il touchait alors
On trouvera bon que je renvoie ceux qui seront curieux de son discours aux archives du Congo. Le prince en fit distribuer sur-le-champ des copies
Tandis que les érudits impatientaient le sultan avec leurs savantes conjectures, il se rappela les voyages de Gulliver, et ne douta point qu'un homme qui avait séjourné aussi longtemps que cet Anglais dans une île où les chevaux ont un gouvernement, des lois, des rois, des dieux, des prêtres, une religion, des temples et des autels, et qui paraissait si parfaitement instruit de leurs moeurs et de leurs coutumes, n'eût une intelligence parfaite de leur langue. En effet Gulliver lut et interpréta tout courant le discours de la jument malgré les fautes d'écriture dont il fourmillait. C'est même la seule bonne traduction qu'on ait dans tout le Congo. Mangogul apprit,
Pour former et perpétuer celle des sciences de Banza, on avait appelé, et l'on appelait sans cesse ce qu'il y avait d'hommes éclairés dans le Congo, le Monoémugi , le Béléguanze et les royaumes circonvoisins. Elle embrassait, sous différents titres, toutes les personnes distinguées dans l'histoire naturelle, la physique, les mathématiques, et la plupart de celles qui promettaient de s'y distinguer un jour. Cet essaim d'abeilles infatigables travaillait sans relâche
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