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MM. Thomas et Villetard de Laguérie ont été correspondants de guerre, l'un pour le Gaulois, l'autre pour le Petit Journal, dans l'armée japonaise. Arrivé avant M. de Laguérie et de la première fournée, M. Thomas a essayé de voir la bataille du Yalou (1er mai 1904). Il l'a vaguement entrevue. Pendant que le canon grondait, on tenait les représentants de la presse emprisonnés dans un emplacement déterminé. Quelle amabilité montraient les Japonais! Par quelles prévenances ils tentaient d'adoucir leur rude règlement! Mais le petit Nippon est défiant; il craint les indiscrétions et, pratiquant avec maestria l'espionnage, ne veut pas le subir lui-même. Envoyaient-ils des dépêches sur le peu que leur oeil ou leur oreille avait saisi, les correspondants de guerre ne pouvaient se faire d'illusions. On arrangeait leurs missives; on les expédiait singulièrement raccourcies et défigurées. Une dépêche de cent trente mots, par exemple, ne parvint

Je vous envoie une lettre du citoyen Villetard, une autre du général Baraguay d'Hilliers, et enfin la délibération du grand conseil, qui a abdiqué; je crains fort que cette pauvre ville de Venise ne soit en partie pillée par les Esclavons

M. Villetard de Laguérie n'a pas été plus libre que M. Thomas; mais, s'il n'a pu contempler mieux que ses confrères les mouvements des troupes nippones et le détail des grandes luttes, il a recueilli, en dehors de cela, une masse de renseignements fort précieux. Pour se rendre au Japon, il a pris la route des

L'arrestation des trois inquisiteurs d'état avait désorganisé la police de Venise. Les plus influens personnages de la bourgeoisie s'agitaient, et manifestaient ouvertement l'intention d'agir, pour hâter la chute de l'aristocratie. Ils entouraient le chargé d'affaires de France, Villetard, qui était resté

Extrait d'une lettre au directoire exécutif. Je vous envoie une lettre du citoyen Villetard, une autre du général Baraguay d'Hilliers, et enfin la délibération du grand-conseil, qui a abdiqué. Je crains fort que cette pauvre ville de Venise ne soit en partie pillée par les Esclavons,

Je vous envoie une lettre du citoyen Villetard, secrétaire de la légation française