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Mis à jour: 27 mai 2025


D'abord il nous plaisait de bien poser le cadre ou vont agir les personnages de notre drame; ensuite il nous semblait utile d'expliquer, sinon d'excuser, l'inertie de la police urbaine en face de ces rumeurs qui faisaient, par la ville, une veritable concurrence aux cancans d'Etat. La police avait autre chose a faire et ne pouvaient s'occuper de la vampire.

Un paysan de Médreïga (village de Hongrie), nommé Arnold-Paul, fut écrasé par la chute d'un chariot chargé de foin. Trente jours après sa mort, quatre personnes moururent subitement, et de la même manière que meurent ceux qui sont molestés des vampires. On se ressouvînt alors qu'Arnold-Paul avait souvent raconté, qu'aux environs de Cassova, sur les frontières de la Turquie, il avait été tourmenté long-tems par un vampire turc; mais que sachant que ceux qui étaient victimes d'un vampire, le devenaient après leur mort, il avait trouvé le moyen de se guérir en mangeant de la terre du vampire turc, et en se frottant de son sang. On présuma que si ce remède avait guéri Arnold-Paul, il ne l'avait pas empêché de devenir vampire

Voici un exemple évident d'ironie: «Toi, jeune homme, ne te désespère point, car tu as un ami dans le vampire, malgré ton opinion contraire. En comptant l'acarus sarcopte qui produit la gale, tu auras deux amis

Ses oreilles tintaient ce mot: La vampire! la vampire! Et comme il cherchait des objections dans sa raison aux abois, se disant: "Aurait-elle ose me raconter, elle-meme sa propre histoire?" sa memoire lui repondit: C'est la loi! Elle a obei a la loi de son infernale existence en me racontant sa propre histoire!

En cessant de sentir palpiter sa victime, le vampire se détacha d'elle; sa bouche se tordit dans un sourire d'effroyable volupté. La! dit-il, je suis désaltéré; maintenant, vous autres, faites ce que vous voudrez de ce cadavre. Et, en effet, Gaetano Mammone cessa de maintenir contre la muraille le corps de don Clemente, qui, s'affaissant sur lui-même, tomba inerte sur le carreau.

La vampire dont je parle, l'interrompit la comtesse Gregoryi d'une voix nette et ferme, c'est la societe secrete qui s'intitule elle-meme la ligue de la Vertu, et qui n'est qu'un faisceau des scelerats, unis dans la pensee d'un crime! Eh bien! fit naivement M. Dubois, je m'en doutais!

Et la voix disait, toujours plus lointaine: Pour me tuer, il faut me bruler le coeur, je suis la vampire dont la mort est une vie, la vie une mort. Tue-moi! Mon supplice est de vivre, mon salut serait de mourir. Tue-moi, tue-moi! Ces mots riaient amerement autour des oreilles de l'etudiant. Et la blanche statue montait.

Je serais venue ici ou l'on denonce et j'aurais denonce. Mais Wenzel, Ramberg et Koenig avaient dit: Nous combattrons par nous-memes, et avec nos propres forces; nous ecraserons la vampire... La vampire! repeta M. Dubois etonne. La comtesse Marcian Gregoryi eut un sourire. C'est un nom qui se prononce beaucoup dans Paris, dit-elle, je le sais.

Nous sommes les deux filles du magnat de Bangkeli, et notre mere, a seize ans qu'elle avait, perit victime de la vampire d'Uszel, dont le tombeau, grand comme une eglise, fut trouve plein de cranes ayant appartenu a des jeunes filles ou a des jeunes femmes. Vous ne croyez pas a cela, vous autres Francais.

Le vampire Lasonde. «Et moi, je suis Lasonde, commis

Mot du Jour

sainte-rose

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