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Nous rentrâmes. Il ne voulut pas se coucher; il s'assit sur son lit, s'appuya contre un des piliers, et joignit les mains pour me prier de lire. Valérie me parlait en effet de notre ami infortuné; elle disait qu'elle languissait dans une douleur qu'elle ne pouvait confier

La danse finit: Valérie, épuisée de fatigue, poursuivie d'acclamations, vint se jeter sur la croisée j'étais. Elle voulut l'ouvrir en la poussant en dehors; je l'arrêtai de toutes mes forces, tremblant qu'elle ne prît l'air. Elle s'assit, appuya sa tête contre les carreaux: jamais je n'avais été si près d'elle; une simple glace nous séparait.

Mais, justement, madame Duveyrier se mettait au piano. D'un geste, madame Josserand, souriante, la supplia de ne pas se déranger; et elle laissa ses filles au milieu des hommes, en acceptant pour elle une chaise, entre Valérie et madame Juzeur. M. Josserand avait gagné le petit salon, le propriétaire, M. Vabre, sommeillait

Elle dort dans un lit bien douillet, sous des rideaux soyeux, non loin de sa chère Valérie qu

Il est du commencement de mai et porte le timbre de Venise. Il est laconique et néanmoins décisif. Chère Valérie, Fixe-moi, je te prie, aussi exactement que possible, sur l'époque probable de ta délivrance. J'attends ta réponse avec une anxiété que tu comprendrais, si tu pouvais deviner mes projets au sujet de notre enfant!

Assise sur une grande chaise devant le piano, Valérie soutenait Péri par sa ceinture comme par des lisières, et la faisait légèrement tourner en frappant avec sa main droite une espèce de galop qui semblait enivrer la poupée, et la petite fille criant comme son maître de danse: en mesure, mademoiselle, arrondissez-les bras, effacez les épaules..., baissez les yeux devant votre cavalier!

Lettre VI. Le 8 avril. Je me promenais ce matin avec Valérie dans un jardin au bord d'une rivière. Elle a demandé le déjeuner: on nous a apporté des fraises, qu'elle a voulu me faire manger

Je t'aimai sans mesure, Valérie, tes attraits me consumèrent, et l'amour me sépara des jours de l'adolescence, comme un violent orage sépare quelquefois les saisons.

J'aurai un fils de ma Valérie adorée, sa vivante image. Oh! pourquoi sommes-nous séparés par une distance immense? Que n'ai-je des ailes pour voler

Deux jours après, Valérie sortit pour voir une femme de sa connaissance; en descendant de voiture, elle a sauté étourdiment; elle est tombée de manière