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Mis à jour: 19 juin 2025


Vous tremblez, vous avez froid? observa soudain Barbara Pétrovna; puis se débarrassant de son bournous que le laquais saisit au vol, elle ôta de dessus ses épaules un châle noir d'un assez grand prix, et en enveloppa elle-même la solliciteuse toujours agenouillée. Mais levez-vous donc, levez-vous, je vous prie! L'inconnue obéit.

Ne tremblez pas! reprit le prince qui mit plus de fierté dans son sourire; ce n'est pas le bourreau qui a le choix... mais avec un pareil démon... je parle de Lagardère, qui a su se faire des alliés puissants du fond même de son cachot... je ne connais qu'une sécurité, c'est la terre, épaisse de six pieds, qui recouvrira son cadavre... Tant qu'il sera vivant, les bras enchaînés, mais l'esprit libre... tant que sa bouche pourra s'ouvrir et sa langue parler... nous devons avoir une main

J'ignore ce qu'elles vous rapporteront un jour, mais jusqu'ici, depuis votre association avec vos trois amis, elles ne vous ont causé que beaucoup de dépenses, et votre réclusion dans ce couvent, vous tremblez sans cesse que l'on vienne vous surprendre, pour vous accuser d'un travail diabolique, d'une oeuvre de sorcellerie, que menacent les foudres de la sainte église romaine... Qu'est devenu le temps , libres et joyeux, nous n'avions d'autre souci que de ciseler, en chantant, de riches bijoux, pour les belles filles de Mayence?... Aujourd'hui, nous passons ici nos journées, vous

«La main me brûle, reprit Doña Inès, qui a touché ce papier. Dieu me protège! Jamais je ne vous ai vue ainsi... Vous tremblez. Malheur

BERNARDO. Eh bien! Horatio, vous tremblez, et vous êtes tout pâle; ceci n'est-il pas quelque chose de plus que de l'imagination? Qu'en pensez-vous? HORATIO. Devant mon Dieu, je ne pourrais pas le croire, sans le sensible et sûr témoignage de mes propres yeux. MARCELLUS. Ne ressemble-t-il pas au roi?

« Votre mari s'est couché et il dort; vous le savez très-bien, puisqu'il vous l'a dit devant moi. Mais vous voulez rentrer parce que vous seriez fâchée de m'accorder la moindre faveur... parce que vous me détestez, et que cela vous déplaît d'être un moment seule avec moi.... Ce n'est pas parce que je vous déteste; je ne déteste personne.... Et vous me voyez comme tout le monde?... Comme c'est flatteur!... comme c'est aimable! Que voulez-vous donc que je vous dise? Oh! rien... vous m'en avez dit assez. Mon Dieu! on dirait que vous tremblez. Oui... je tremble... j'ai peur avec vous. Peur!... avec moi qui vous aime tant!... C'est peut-être pour cela... Ah! madame, je suis bien malheureux si je ne vous inspire que de la crainte!... Que je voudrais donc ne plus vous aimer!... Oui, je donnerais tout au monde pour vous oublier; car je vois bien que mon amour vous ennuie, vous obsède!... Mais je ne puis, je ne le pourrai de ma vie... je vous aime tout autrement que je n'avais jamais aimé. Je sens maintenant la différence d'un sentiment véritable

Oui, tremblez, juges, poursuivit l'évêque avant que le président eût eu le temps de reprendre son sang-froid; tremblez! car vous alliez verser le sang innocent. Pendant que l'émotion du président se calmait, Ordener s'était levé consterné. Le noble jeune homme craignait que sa généreuse ruse ne fût découverte, et qu'on n'eût trouvé des preuves de la culpabilité de Schumacker.

Il n'y en a plus après la noce... Vous tremblez encore? J'ai cru entendre du bruit. Au fait, nous sommes presque dans un jardin; si vous ne teniez pas

Thérèse est ta fille, laisse-toi fléchir... Tu te repentiras amèrement, mais trop tard... Un jour, dans l'horreur de son sort, elle maudira l'existence et ceux qui la lui ont donnée... et ses plaintes et ses larmes iront jusqu'au fond de la tombe accuser et troubler tes os... Aie pitié!... Oh! tu ne m'écoutes pas... tu l'entraînes... la victime est sacrifiée; j'entends ses gémissements... mon nom est dans son dernier soupir... Oh! tremblez... votre sang... le mien... Thérèse sera vengée... Oh! je suis fou! je délire! oh! je suis un assassin!...

Les cris, les hurlements se font entendre de tout côté. Chaque étendard porte des menaces qu'on étale aux yeux du Roi. Il lit d'un côté: «Tremblez, tyrans, le peuple est armé»; de l'autre: «Union des faubourgs Saint-Antoine et Saint-Marceau, voici les sans-culottesOn lui adresse la parole, mais c'est pour l'insulter. On lui présente un bonnet rouge au haut d'une pique; un grenadier le lui pose sur la tête; on y ajoute des rubans aux trois couleurs, il les accepte. La foule se presse et demande

Mot du Jour

l'égaierait

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